Si l’on retire le concept de parti politique qui cause le corporatisme et on y ajouter le mandat impératif à la place de la représentativité, ce que vous citez s’appelle du fédéralisme libertaire. Et l’indépendance du débat politique à l’échelle locale, l’autonomie.
Big Up aussi pour tous les suicidés, les chômeurs, les pédés, les putes, les handis et toutes les personnes que j’ai pu oublier victimes de la normalisation et l’exploitation.
Si je cite les anarcho-syndicalistes de Chicago c’est pas pour faire de l’ombre aux autres c’est juste pour rappeler que elle est là l’origine du premier mai.
... Le premier mai est à l’origine une fête CONTRE le travail et non la fête du travail.
Wesh spécial dédicace aux anarcho-syndicalistes de Chicago et à tous les autres qui sont mort après eux en luttant contre l’autorité et l’exploitation. :p
Je suis étudiant et anarchiste. Et bah je peux vous dire que l’UNEF est
un rassemblement de la pire pourriture avec de gros moutons. Que cela
soit de la tendance majoritaire à des tendances dites minoritaires
aucune ne rattrape l’autre : tant qu’ils seront là aucun mouvement
étudiant ne sera démocratique. C’est d’ailleurs pour ça que des
autonomes et anarchistes essayent de les chasser des assemblées
tellement que l’on atteint le comble de la manipulation ( que ce soit
pour la tendance NPA, PS...).
Sur le local dès qu’il y a une AG, il te proposeront de base la création
d’un comité. Si le comité est refusé ils vont utiliser toutes les
méthodes possibles pour imposer l’idée du bureau national quitte a
importer une partie de l’AG envoyée par le bureau régional.
( les moutons de l’UNEF ça fait et ça vote tout ce que le bureau national veut, aucune réflexion personnelle)
Sur les coordinations des AG des universités, ces salauds font en sorte
d’obtenir le maximum de mandatés de manière à verrouiller le mouvement
sur l’échelle nationale/ régionale.
Les novices, ils les amènent directement dans leur cortège de
manifestation. Par ailleurs, ils limiteront, en bon syndicat
cogestionnaire (financé à 40% par l’Etat) le mouvement à de bonnes
manifestations pépères qui ne changent rien et si possible le plus
possible de manière à bien te fatiguer rapidement.
ET hop après chaque mouvement, une fois que tout est mort, fiers de leur
bravoure à désorganiser ce qui pourrait déborder le cadre des partis et
donc à instaurer la démocratie, y’a les promotions qui tombent et comme
par hasard des chefs de sections locales disparaissent pour finir comme
par magie au bureau national.
Vive la bureaucratie.