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CHARMET

Formation : Agronome et économiste.
Carrière passée : Economiste pour divers organismes publics et professionnels, puis manager dans une grande banque. Consultant international, puis conseil privé.
Maintenant retraité, toujours en éveil. Observateur attentif de la vie publique.

Tableau de bord

  • Premier article le 04/04/2009
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Derniers commentaires



  • CHARMET 28 juillet 2009 16:38

    Pas encore guillotiné par Plancher des Vaches, je peux donc encore indiquer, hors toute opinion, que je dispose de ce dossier (et de quelques autres) mais qu’on ne peut pas tout publier.
    Pour plus ample information, j’ai donné une adresse Mél à la fin de l’article.
    Jean-Claude Charmetant.



  • CHARMET 6 avril 2009 14:56

    Démesure ? Certes oui, dans le ton employé ; à la lecture des commentaires, je me suis un peu lâché.

    Mais, si on va au fond des choses, force est de constater que, depuis l’homme de Néanderthal, celui qui gagne est celui qui a le plus gros bâton et surtout celui qui est le plus résolu à s’en servir. C’est de là que partent tous les totalitarismes. Et c’est la faiblesse humaine qui donne le champ libre aux voyous, malfrats et mafieux.

    Au cours des âges, certains ont réagi. Les Athéniens qui, pour ne plus avoir de tyran, ont inventé une forme de démocratie. Bouddha qui a tenté de dire aux gens que le bonheur se trouve en soi-même et non en dominant les autres. Les Romains qui ont inventé le droit, appliqué à tous les citoyens et pas seulement aux sénateurs. Jésus qui a dit : "Aimez-vous les uns les autres". Les Suisses qui ont mis au point et continuent de perfectionner le système le plus démocratique qui soit puisque le pouvoir part d’en bas (le citoyen et la commune) et ne remonte que très peu (vers les cantons et l’Etat fédéral). Gandhi qui a prêché la non violence. (liste non limitative).

    Certains fustigent l’ultra libéralisme, d’autres le communisme. Certains montrent du doigt les dirigeants politiques et les patrons de grandes entreprises, d’autres les dictateurs qui se prétendent de gauche (Hitler, Staline, Pol Pot...) ou de droite (Pinochet, Franco, Salazar...) ou de rien du tout (Battista, Duvalier...).

    Ce n’est sûrement pas dans les injures ni les incantations qu’est le coeur du débat, mais dans la capacité d’hommes libres et responsables de prendre leur destin en main et de faire entendre leur voix. C’est pour cela que je concluais mon billet en fondant quelque espoir dans Internet.




  • CHARMET 6 avril 2009 12:25

    Merci à tous de vos commentaires. Je crois que le monde ne change pas vraiment.

    J’étais plus jeune quand, en mai 68, des étudiants menèrent un grand chahut " A bas les profs ". Les profs magistraux se sont écroulés et, en quelques semaines, presque toute la société s’est écroulée. Un mois après, c’était fini et 40 ans plus tard, on a toujours les mêmes profs et les mêmes énarques aux commandes. De droite ou de gauche, même tabac : ils jasent beaucoup et ne font rien, ou presque... : des lois pour des effets d’annonce. Parmi eux, beaucoup d’anciens manifestants de 68 qui sont passés de l’autre côté.

    Il y a 20 ans, un ami un peu anar me disait : " Tous des voyous ". Voyous, truands ou mafieux, on les voit partout : leur tactique est de prendre le maximum de pouvoir pour se remplir les poches. En Russie, quelle différence entre Staline, Eltsine et aujourd’hui ? Quelle différence entre les potentats chinois et américains ? Même dans les pays super pauvres comme Cuba, la Corée du Nord, les Philippines ou l’Afrique, il y en a toujours quelques-uns qui se remplissent les poches et qui remplissent leurs comptes dans les paradis fiscaux.
    Chez nous, celui qui ne pense pas qu’au fric est suspect : Voyez Michel Rocard qu’on a toujours barré, Beregovoy suicidé de deux balles dans la nuque, le pape Jean-Paul 1er qui n’a pas vécu six mois, le deuxième du même nom qu’on a tout de suite tenté d’assassiner. Dangereux, ces gens, dangereux, vous dis-je. Mieux vaut collectionner les montres comme Manuel Vals, enrichir ses amis comme un certain François ou utiliser les impôts des Parisiens pour des voyages en avion et des "frais de bouche"  ; là, on est bien considéré. Au palmarès des pays corrompus, pots de vins et affaires louches, la France figure d’ailleurs parmi les plus mauvais.

    Pour en revenir au G20, j’aurais dû écrire : Quelques bonnes intentions plus un peu de poudre aux yeux. Mais qu’est-ce qui va changer vraiment ? Rendez-vous dans dix ans.

    En ce moment, il y a une expo de photos sur les grilles du Sénat à Paris. On voit des photos de manifestations énormes, des centaines de milliers de gens. Quelques-unes ont ouvert des portes vers la liberté ; d’autres ont fini dans des bains de sang.

    Peut-être, quand même, une lueur d’espoir : il y a maintenant quelques milliards d’internautes sur cette planète. Là, la parole est libre. Espérons qu’Internet arrive à changer le monde là où les votes arrangés n’ont rien fait. 

    Jean-Claude C.




  • CHARMET 23 octobre 2008 15:53

    Cet article s’ajoute à tous ceux qui montrent chaque jour le travers que l’Etat a développé chez tous les Français pour accroître son pouvoir : Chacun doit tendre à bout de bras, au dessus de sa tête, un grand entonnoir pour recueillir la manne qui tombe du ciel. La loi Dalo en est un exemple parfait : c’est le parapluie sans la manne.

    Ce n’est pas des lois qu’il faut pour loger les gens, c’est des maçons. On les empêche de travailler. Toute personne qui veut construire sur son terrain est dans l’illégalité sauf - cas de plus en plus rare - si elle décroche un permis de construire. Le gel des terrains crée la pénurie de logements et maintient des prix anormalement élevés malgré la récente baisse. Et, au cas où on parvient à construire, les taxes et cotisations sur les salaires (la vache à lait de l’Etat et de la protection sociale) qui, dans les métiers du bâtiment, sont la principale source de coût, se chargent d’augmenter la facture.

    Quant au logement "social", qu’on cesse enfin de nous mentir ! Il y en a plus de quatre millions en France dont les deux tiers sont occupés par des gens qui ne sont pas du tout dans le besoin (parmi eux, il y a beaucoup de fonctionnaires, chacun de nous en connaît). Il suffirait de leur vendre leur logement et on en tirerait largement assez pour loger TOUS les pauvres, qu’ils travaillent ou non, sans que nos impôts (et/ou notre dette) n’augmentent d’un centime. Ils diminueront même car on n’aura plus besoin de louer des chambres d’hôtel à prix d’or pour y entasser des familles.

    Mais il y a un hic, un seul : le POUVOIR des fonctionnaires et des élus serait amoindri s’ils perdaient le monopole d’attribuer des logements - denrée rare et chère - à qui ils veulent. Alors, on continuera à nous raconter des histoires et à vouloir nous berner avec des lois incantatoires. Jusqu’à quand ?


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