Chacun de nous a pu un jour se sentir exclu d’un groupe prestigieux ou attirant, faute de pouvoir ou de savoir comment y entrer, et en ressentir haine ou frustration.
Chacun de nous a pu un jour se sentir stressé par des demandes ou des comportements de personnes ne partageant pas nos valeurs ou simplement nos codes culturels (« il est bizarre », « il est agressif », « il est sans-gêne », « il pourrait être poli », etc.)
Dans tout mariage, il y a inévitablement le camp des « snobs » et le camp des « ploucs », même si l’on se marie dans son propre milieu.
Ce que peut faire la société, c’est favoriser - ou défavoriser - la médiation. Alors quand l’état divise pour règner, il faut trouver d’autres médiateurs...
Je ne crois pas que ça soit si compliqué que ça : la lutte des classes, c’est l’union fait la force. la lutte des places c’est diviser pour régner.
Le problème c’est que les classes ne sont pas stables, ou alors elles se vident de leur sens, comme en URSS. La classe exploitée avait pris le pouvoir, une nouvelle classe dominante est apparue en son sein, et quand le communisme est tombé, les nomenklaturistes sont cyniquement devenus des oligarques.
Je verrais plutôt g’ipebla, puisque j se prononce dj en anglais et que jeep vient de « general purpose ».
Ce qui fait du même coup de g’ipi un verbe transitif, signifiant parcourir X en jeep, X étant le complément à l’accusatif, et signifiant un nom de lieu. ex : (?) mi g’ipas la dezerton
Si on veut éviter le risque de collision (pas en jeep, mais avec d’autres formes grammaticales qui exigeraient que g’ipi soit intransitif), il vaut mieux utiliser le suffixe-joker « um », g’ipumi , d’emploi plus souple.
Ce qui n’empèche pas que, dans une conversation courante, j’ipebla serait compréhensible , même si le puristes peuvent y trouver à redire.
En effet, ça ressemble à un cancer dont les métastases s’attaqueraient à tous les organes de la société, voire de la planète.
Je suis en gros d’accord, sauf pour le réchauffement climatique : qu’il soit du à un cycle de glaciations auquel nous ne pouvons rien ou au résultat de nos bêtises, il faut s’en préoccuper.
Par contre, je ne crois pas qu’on s’en sortira en culpabilisant les gens et en les incitant à réagir individuellement : cela a autant de chances de marcher qu’un carrefour embouteillé de se débloquer spontanément !