Que nul ne persuade mon adolo d’entrer dans une secte !
Que nul ne persuade mon adolo que les americains sont toujours les gentils !
Que nul ne persuade mon adolo que l’Art s’achète en grande surface !
Que nul ne persuade mon adolo que breveter le vivant c’est bien !
Que nul ne persuade mon adolo qu’une copie est équivalente à un vol !
Absolument Demian ! Je vois que tu a enfin compris ! Que les faibles, les enfants,... avaient besoin de ton aide !... et pas de la bouillie artistique que les majors voudraient leur vendre à prix d’or !
Les enfants Demian ! C’est eux surtout les faibles !
« On réduit vos droits sur une Oeuvre, passez-vous en. »
Ce serait prendre comme postulat que la société toute entière est composée de personne totalement informées et totalement au fait d’une réflexion globale avant de passer à l’acte d’achat !
Se serait comme demander à quelqu’un de relire tout ce fil de discussion avant de décider si l’album qu’il tiens entre les mains, avant de passer en caisse, vaut l’argent qu’il débourse pour l’obtenir.
L’objectif premier de la loi, c’est de protéger les faibles contre le pouvoir des forts... y compris leurs « pouvoir de persuasion ».
Car qui peut prétendre que les actes d’achat d’adolescents sont des actes TOTALEMENT réflechi et au faite d’une réflexion globale.
Je pense aussi à ces adolescents quand je pense à remettre en débat les fondements du droit d’auteur et du code de la propriété intellectuelle.