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Étirév

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  • Étirév 5 mars 16:57

    Les relations sexuelles n’ayant plus été réglementées par LA RELIGION depuis des lustres, la licence masculine, dès lors, entraîna un accroissement anarchique de la population mondiale. Ainsi, en cette fin de Cycle, l’explosion démographique planétaire inédite du XXème siècle a vu la population mondiale multipliée par 2,4, et passée de 2.5 milliards d’habitants en 1950, à 6 milliards en 1999 ; elle est de plus de 8 milliards en 2023.
    Souvenons-nous que, suivant l’ancienne Loi qui régnait aussi bien chez les Celtes que chez les Israélites, le mot « AGAPE » désignait les réunions données le 7ème jour. Ce 7ème jour était un temps de repos ; c’était un jour CONSACRÉ, c’est-à-dire donné aux unions. Cette consécration du 7ème jour laissé aux divertissements, aux agapes et au sacrifice eucharistique, a joué un grand rôle dans le premier culte, puisqu’elle a été imitée et parodiée par toutes les religions.
    A propos des festins du vendredi et des noces qui étaient les agapes des Mystères, dans son ouvrage, « La République des Champs Elysées », Charles Joseph de Grave montre comment cette fête religieuse entra dans les mœurs : « Après avoir consacré les six premiers jours à des travaux et des devoirs, les législateurs ont proclamé le septième jour « libre ». « Vrydag », nom du vendredi, signifie « libre jour » (en allemand « Freytag », en anglais « Friday »). Le 7e jour était destiné à la célébration des noces. Sous ce rapport, l’amour présidait aussi à ce jour. C’est de là que le mot Vry a donné naissance au verbe Vryen (en Néerlandais) qui, dans l’usage du peuple moderne, signifie « faire l’amour ». Et on donne aussi le nom de « frayer », Vryen, à « l’amour des poissons ».
    Le vendredi s’exprime en latin par le mot « dies Veneris », « jour de Vénus », « jour de la Femme » car « Vénus » à la signification de Femme. Alors, sans doute, Femme Divine.
    On a jeté tant de défaveur sur le vendredi, qu’il en est résulté un préjugé singulier contre ce jour, préjugé qui se soutient encore par l’effet d’une tradition sourde, quoiqu’on en ait perdu la raison. Dans l’opinion vulgaire, le vendredi est devenu un jour funeste et de mauvais augure. Et le vendredi, « jour de Vénus », a été remplacé par le dimanche, « jour du Seigneur ». Toujours la substitution des sexes accompagnée du renversement des idées. L’ancienne Loi donnait un jour sur sept à l’union ; la loi masculine fera du dimanche un jour d’abstinence et donnera à la licence masculine six jours sur sept.
    NB : Robert McNamara, ancien secrétaire d’État à la Défense des États-Unis d’Amérique (celui qui ordonna le bombardement massif du Vietnam) et ancien président de la Banque Mondiale (qui imposa aux pays dits « en voie de développement » l’utilisation de moyens contraceptifs comme condition sine qua non pour obtenir des aides financières), membre également du « Council on Foreign Relations » (CFR), de la Commission « Trilatérale », du « groupe Bilderberg » et du « Lucis Trust », puissante association reconnue par l’ONU, et dont dépendent les mouvements pseudo spiritualistes du « New Age », déclarera : « On doit prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations… Pour réduire la population terrestre il faut augmenter le nombre de décès et diminuer le nombre de naissances… Cela aura lieu, soit par le biais de mesures humaines soit par un coup d’arrêt malthusien ».
    Ainsi se développera, s’intensifiera et se banalisera l’usage des contraceptifs, des avortements, de la stérilisation et peut-être, bientôt, de l’euthanasie. Et pourquoi ne pas également, et dans le même temps, comme tous les grands « bouchers » de l’histoire, déclencher des guerres ici où là, des conflits mondiaux… nucléaires ; augmenter la souffrance des gens et les pousser au désespoir et au suicide ; provoquer des famines, des épidémies et même des pandémies fictives qui justifieraient un empoisonnement médical « scientifiquement correct » ; ou bien encore encourager la sodomie et finir par défendre la pédophilie ?
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  • Étirév 29 février 08:27

    Il est des gens naïfs, nombreux, qui croient encore que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
    Néanmoins, et à leur décharge, il faut dire que c’est toujours quand la Vérité est altérée, cachée, quand l’erreur triomphe, qu’on en impose l’étude à la jeunesse. Exemple : Le Moyen Âge



  • Étirév 23 février 10:34

    Jimmy Goldsmith disait : « Le succès d’une nation ne se mesure pas exclusivement en terme économique. Le relèvement national n’est pas seulement le résultat de la croissance économique. Un des défauts de la culture moderne est qu’elle fait croire que tout problème, quel qu’il soit, est réductible à l’analyse chiffrée et par conséquent peut être mesuré. Lorsque la mesure, plutôt que la Sagesse, devient l’outil privilégié, cela peut conduire à de graves erreurs. »
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  • Étirév 14 février 09:47

    À l’instar de la majorité de ses confrères d’hier et d’aujourd’hui, Jacob Badstadt dit Jacques Bainville, consciemment ou inconsciemment, faisait partie de ce que Jean Parvulesco appelait la « confrérie faisandée des historiens conventionnels ».
    Exemple d’explication ICI.



  • Étirév 13 février 15:21

    Robert Badinter, le mondialiste ministre de la justice à 2 vitesses (triple pléonasme).
    Le 25 juillet 1986, L’Hebdomadaire « Minute » révélait une drôle affaire : « Le 18 février 1986, une patrouille, remarquant un automobiliste en train d’effectuer une manœuvre pour échapper à un contrôle de police, le prend en chasse. L’ayant rattrapé à l’angle des rues Vergniault et Tolbiac, elle le découvre en possession d’un couteau à cran d’arrêt et de 20 grammes de résine de cannabis. Mais il y a plus grave dans son cas : il transporte également un peson, l’instrument de mesure de précision qui sert aux trafiquants à peser la drogue. En vertu de la législation en vigueur, son compte est bon ; garde à vue, mise à disposition du commissaire chef de la brigade des stupéfiants, présentation au parquet. Mais rien de tel ne se passe pour le jeune homme en question : arrêté à trois heures du matin, il sera remis en liberté à trois heures quarante. Pour une raison qui semble lumineuse : il s’appelle Michel Badinter, neveu de Robert Badinter, encore ministre de la Justice au moment des faits. Le neveu Badinter demeurant rue Wurtz, sans profession, a été libéré sans même qu’on lui ait pris sa photo ni ses empreintes digitales, contrairement aux instructions en cours actuellement. Et cela sur intervention de l’état-major de la police judiciaire et du substitut de service, qui a été réveillé pour l’occasion. La protection des pourris et des pourrisseurs étant assurée par la justice même qui devrait les poursuivre implacablement, on ne s’étonnera pas que la consommation de cocaïne fasse dans les milieux branchés des progrès effrayants.
    Et comment ne pas rappeler l’affaire Christina Von Opel, richissime héritière de la famille de constructeurs d’automobiles, condamnée à dix ans de prison en novembre 1979. La police avait trouvé dans sa villa de la Côte d’Azur une tonne et demie de haschisch. Peu de temps après l’arrivée des socialistes au pouvoir, Christina Von Opel bénéficiait d’une grâce présidentielle en tant que mère de famille. Il est vrai que toutes les mères de famille emprisonnées n’ont pas la chance de voir leur avocat devenir ministre de la Justice. Vous l’avez deviné : son avocat était Robert Badinter.
    Rappelons enfin, que la Fédération Mondiale des Villes Jumelées (F.M.V.J.) est une association fondée en 1957 et dotée de moyens importants pour arriver, à travers des jumelages entre diverses villes du monde, à abattre les frontières entre les nations en vue d’un « conglomérat plus vaste » ; il s’agit d’une organisation mondialiste dont les statuts, il convient de le rappeler, furent rédigés par Robert Badinter, membre du B’nai B’rith.
    Le B’nai B’rith est cette association fraternelle juive, fondée en 1843 aux USA, représentée au sein de la plus grande partie des organisations internationales comme l’ONU, l’UNESCO, le Conseil de l’Europe (avec fonctions consultatives), qui a même ses entrées au Vatican, et dont l’influence pousse les candidats à la présidence des États-Unis à se présenter devant lui, mais dont « le lobby n’existe pas ».
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