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Martin sur AgoraVox

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Martin sur AgoraVox habite dans un village et travaille dans une grande ville.

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  • Premier article le 28/03/2007
  • Modérateur depuis le 21/05/2007
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Derniers commentaires



  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 4 octobre 2015 08:29

    Les analyses de l’ADN permettent d’effectuer la classification raciale. C’est par l’analyse génétique autosomale (autrement dit par l’analyse du génome, donc de l’ADN) que l’on peut déterminer l’ascendance principale d’une personne et donc sa composition raciale. Ainsi, une personne née de père noir et de mère blanche verra très clairement dans son analyse environ 50 % de gènes de Noir (que les laboratoires dans leurs documents désignent souvent par « Africain sub-saharien ») et 50 % de gènes de Blanc (que les laboratoires désignent souvent par « Européen »).

    Les diverses techniques mises au point par l’équipe de professeur Masatoshi Nei, et par d’autres scientifiques, ont été utilisées et complétées par des scientifiques dont les recherches concernent la génétique des populations dans des domaines variés, par exemple en médecine.

    Par ailleurs les techniques qui découlent de ces recherches sont utilisées aussi par des sociétés commerciales (cliquez sur le lien et vous pourrez le constater : c’est précisé en bas de page) qui par la mise en application des analyses autosomales proposent d’établir quelle est la composition raciale d’un individu et, selon les moyens techniques dont elles disposent et selon les dépenses financières que l’on est prêt à consentir, elles peuvent aller plus ou moins loin dans le détail de l’analyse. Ces sociétés présentent le rapport d’analyse en donnant pour l’ADN analysé au moins la part des trois principaux regroupements raciaux (Européen, Africain sub-saharien, Est-Asiatique) mais il est possible aussi d’obtenir la répartition plus fine par des sous-groupes raciaux.



  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 4 octobre 2015 08:18

    Il semble que certains lecteurs ont quand-même des doutes : la science a-t-elle identifié l’existence des races humaines ou bien a-t-elle constaté que les races humaines n’existent pas ?

    C’est un fait que certains scientifiques, au services de l’idéologie mondialiste (ou globaliste), nient l’existence des races humaines, et c’est un fait que l’idéologie du mondialisme, qui actuellement dicte les règles dans les cercles au, et autour, du pouvoir politique et médiatique, met en avant ces scientifiques-là.

    Pendant ce temps des scientifiques intègres, mais qui sont ignorés par les médias, considèrent que les différences biologiques entre les branches de l’humanité sont clairement marquées de sorte qu’on peut parler de races, identifiables par des caractéristiques biologiques spécifiques que porte chaque groupe racial.

    La vérité établie devrait pourtant être diffusée sans censure. L’obstruction que l’idéologie des mondialistes et des « antiracistes » a réussi à imposer depuis quelques dizaines d’années s’apparente à l’interdiction qui jadis empêchait de constater publiquement que « la Terre est une planète qui gravite autour de l’étoile Soleil ».

    Alors que dit la science concernant les races humaines ? En effet : « La vérité c’est que chaque espèce est composée de plusieurs races et que l’espèce humaine n’échappe pas à cette règle naturelle. ». Pour en savoir plus vous pouvez lire l’article dont le lien est donné en fin du présent commentaire.

    Une discipline scientifique ancienne est capable de déterminer l’appartenance majoritaire d’un individu à une race : c’est l’anthropologie. Par l’examen d’une série de caractéristiques physiques, l’anthropologie permet de classer un individu dans un groupe ou sous-groupe racial. Ainsi les experts en criminologie sont capables, par l’examen du squelette, de déterminer avec une forte probabilité quelle est la race dominante de l’individu.

    Plus récemment c’est la génétique qui a apporté toute la fiabilité dans la détermination de la composition raciale d’un individu. Da façon analogue à l’anthropologie, l’analyse génétique autosomale permet également de classer un individu dans un groupe ou sous-groupe racial. La où l’anthropologie examine les caractéristiques biologiques macroscopiques, l’analyse génétique autosomale examine les caractéristiques biologiques microscopiques tout en apportant plus de précision.

    Les techniques d’analyse sur le génome et de traitement statistique des données à partir des échantillons de populations étudiées ont été mises au point notamment par l’équipe du professeur Masatoshi Nei (Pennsylvania State University). Parmi ses contributions, qui permettent la définition des groupes raciaux selon les critères génétiques, on peut citer les méthodes statistiques pour mesurer la distance génétique entre les populations (la distance génétique de Nei) et la méthode de reconstruction des arbres phylogénétiques.

    La science génétique progresse et cerne de mieux en mieux la question des groupes raciaux humains. C’est un fait qui est délibérément évacué en France où les médias acceptent, sans tenter de le contredire, le dogme propagé par les « bien-pensants » que « les races humaines n’existent pas ».

    L’analyse génétique autosomale est donc capable de déterminer l’ascendance principale d’une personne. Ainsi, une personne née de père noir et de mère blanche verra très clairement dans son analyse environ 50 % de gènes de Noir (que les laboratoires dans leurs documents désignent souvent par « Africain sub-saharien ») et 50 % de gènes de Blanc (que les laboratoires désignent souvent par « Européen »).

    Les diverses techniques mises au point par l’équipe de professeur Masatoshi Nei, et par d’autres scientifiques, ont été utilisées et complétées par des scientifiques dont les recherches concernent la génétique des populations dans des domaines variés, par exemple en médecine.

    Dès les premières études sur les groupes de populations humaines, basées sur l’analyse autosomale, dans les années 1990, la différentiation en groupes raciaux est apparue comme une évidence. Par exemple sur ce lien on peut examiner le graphe sur lequel sont représentées les distances génétiques entre les groupes raciaux - telles qu’elles ont été mises en évidence par une étude effectué par les chercheurs de l’équipe conduite par le professeur Luigi Luca Cavalli-Sforza (Stanford University).

    En France il est devenu impossible de propager la vérité sur les races humaines. Par contre, depuis une trentaine d’année, la propagation du mensonge « les races humaines n’existent pas » est facilitée. Et pour rendre la question confuse on a remplacé la notion de « race » par la notion de « ethnie ». Une façon de nier l’existence des races humaines consiste à affirmer que seules les différences ethniques existent entre les groupes humains.

    La race recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères biologiques.

    L’ethnie recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères culturels (langue, religion, repères moraux, habitudes sociales etc.). Ainsi une race humaine peut être subdivisée en ethnies. Il ne faudrait pas utiliser la notion de « ethnie » pour remplacer la notion de « race » - pourtant c’est ce qui est fait en France.

    En France la censure empêche de propager la vérité sur les races humaine.

    Les médias français ont éliminé le franc-parler pour utiliser un charabia « politiquement correct ». Par exemple le titre « Un violeur en série d’origine africaine recherché à Paris ». Que signifie « d’origine africaine » ? Serait-ce « Noir » ? Le terme « d’origine africaine » est source de confusion, car par exemple Ségolène Royal est née au Sénégal est-elle « d’origine africaine » ? En vérité on cherche un individu d’un certain type racial mais en France c’est suspect de le dire ouvertement.

    En France on est allé tellement loin dans le dénigrement de la réalité que l’enseignement public dans les écoles françaises produit des citoyens qui sont persuadés que les races humaines n’existent pas. Dans d’autres pays du monde l’existence des races est un fait que chacun peut ouvertement constater et que l’on prend en compte à tous les niveaux. Par exemple, aux États-Unis d’Amérique, lorsque le FBI diffuse les fiches de signalement concernant les criminels recherchés, la race de chaque individu est précisée car c’est un élément de différenciation, un élément d’identification. Par contre dans les débats internes en France, préciser la race d’un individu semble gênant. En France on utilise des contorsions, pour éviter de parler des races humaines on invente des termes comme « minorités visibles » sans préciser quelle en est la signification, de sorte que l’on introduit avec ce néologisme maladroit la confusion, car il y a des quantités de minorités qui sont visibles : les handicapés moteurs, les chauves, les nains, les riches tape-à-l’œil, les gros, les barbus etc.

    En conclusion qu’on se le dise une bonne fois pour toutes : la différentiation des humains en groupes raciaux est une évidence confirmée par la science moderne.

    Je recommande la lecture de l’article « Les races humaines ou les types humains ».



  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 27 janvier 2015 20:00

    Le problème est au cœur de l’islam et le traitement par l’éducation des musulmans ou par la création d’un « islam de France » ne supprimera pas le problème.

     

    La comparaison des textes – l’Ancien Testament, le Nouveau Testament et le Coran – est sujette à interprétation notamment à cause de sourates considérées par certains comme caduques alors que d’autres estiment que le texte est un tout et qu’une sélection n’est pas permise.

     

    Donc ce que suggère l’auteur – « pour repenser l’islam et remettre à plat cette religion, il faut disposer de la liberté d’expression » – ne serait au mieux suivi que par une partie de musulmans. Cela reviendrait à dire que l’islam n’est pas LE problème, mais que le problème vient de certains courants hérétiques de l’islam, et donc qu’il suffit de tailler dans les textes pour en sortir quelques chose d’acceptable et d’applicable en Europe.

     

    C’est faux, la violence est au cœur-même de l’islam. C’est un fait et évacuer ce qui est au coeur revient à renier ce qui est à l’origine de l’islam, c’est-à-dire la partie la plus « sacrée » pour la plupart des musulmans, la partie sur laquelle repose l’islam. Dans ce processus une confrontation ouverte apparaitrait entre ceux qui se dirait « vrais musulmans » par comparaison aux autres qu’ils considéreraient comme « faux musulmans ».

     

     Alors la question est quelle partie de la population française musulmane accepteraient une redéfinition de l’islam : les vrais musulmans ou les autres ?
     

     Cette question est d’importance car selon la réponse toute tentative d’adaptation de l’islam pourrait n’avoir aucune chance d’aboutir, ou pire aboutirait à la création officielle en France de courants clairement marqués et antagonistes. Cet antagonisme entre ceux qui se disent héritiers de Mahomet existe notamment en Irak avec la violence qui s’en suit.

     

    L’auteur mentionne le wahhabisme mais n’explique pas pourquoi (ou en quoi) ce courant est persuasif pour les musulmans qui cherchent la réponse à la question « quel est le véritable islam ? ». C’est une erreur de croire que la question est celle des gens instruits versus ceux qui ne le sont pas.

     

    On voudrait traiter l’islam pour le rendre compatible avec nos sociétés européennes comme cela a été fait avec les chrétiens. Mais ce qu’on peut appliquer aux uns on ne peut l’appliquer à certains autres.

     

    L’islam a un problème en comparaison avec la chrétienté : ceux qui veulent suivre la voie montrée par Mahomet prennent une toute autre direction que ceux qui veulent suivre la voie montrée par Christ.

     

    Pour y voir clair à propos de l’islam, pour faire une comparaison correcte avec les autres religions, en l’occurrence avec la chrétienté, il y a un moyen incritiquable.

     

    La comparaison de la vie des prophètes fondateurs de la chrétienté et de l’islam montre des divergences profondes : quels messages, quels enseignements pour leurs adeptes, ont laissé Jésus et Mahomet par les exemples-mêmes de leurs vies ?

     

    Intéressons nous donc aux faits de leur vies.

     

    Jésus prêchait la tolérance et la bonté envers tous sans distinctions ; il n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance envers ceux qui n’obéissent pas aux règles qu’il a édictées : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine

     

    Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.

     

    La violence est ainsi inextricable de l’islam car dès ses origines la violence a imprégné l’islam.

     

    Les religions ne se valent pas, l’islam n’est pas une religion comme une autre.

     

    Qui sont les vrais musulmans : ceux qui se comportent en suivant l’exemple donné par Mahomet, le fondateur de l’islam, ou les autres ?

     

    Donc sous l’éclairage de l’islam donné par l’exemple de la vie de Mahomet comment situez-vous les djihadistes : parmi les vrais musulmans ou parmi les faux musulmans ?

     



  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 26 janvier 2015 20:00

    Les slogans brandis en public ces derniers jours ont exigé le respect de la liberté d’expression donc le présent commentaire devraient avoir le droit de figurer à la suite de l’article ci-dessus … 

     

    Sans nommer qui que ce soit énonçons sous forme d’hypothèse certains comportements et voyons à quel groupe de personnes cela pourrait s’appliquer et quels mots conviendraient pour qualifier ce groupe.

     

    Imaginons un « mouvement spirituel » qui aurait été propagée par son fondateur en appliquant la violence meurtrière. Imaginons qu’il y ait des faits historiques : dès les origines de ce « mouvement spirituel » il a été propagé par les actions guerrières, avec mises à mort, mises en esclavage et vols que pratiquait personnellement, les armes à la main, son fondateur. Par ces moyens violents, et en le justifiant auprès de ses adeptes par « la voix de Dieu », qui lui aurait dicté les règles lui permettant d’agir ainsi, il s’est notamment constitué un groupe d’esclaves sexuelles sélectionnées parmi les vaincus. Imaginons que ce « mouvement spirituel » pratique un rite annuel, qui se déroule dans le contexte familial, en présence notamment d’enfants, dans une ambiance de grande allégresse, où les enfants sont donc entrainés à se réjouir lorsqu’un animal est mis à mort pas égorgement.

     

    Tout ce qui vient d’être décrit correspondrait de nos jours à la description d’une secte satanique et de son fondateur.

     

    Imaginons que l’attitude très agressive des adeptes a permis à la secte de se répandre et de rassembler beaucoup d’adeptes. Il se trouve que c’est d’abord le nombre de pratiquants qui conditionne la passage de secte à religion. De sorte que cette secte satanique a rapidement prétendu être une religion.

     

    Imaginons qu’au fil du temps cette secte continue à progresser et que parmi ses adhérents il y en a un grand nombre qui avancent en cachant leur visage maléfique sous un masque. La ruse du masque leur permet d’avancer en ne provoquant que peu de méfiance et pas beaucoup de résistances. Sur le masque il est écrit, à l’intention de ceux qu’ils croisent : « notre secte c’est la secte de la bonté » et aussi « notre secte n’est qu’une gentille secte comme les autres sectes qui ont le droit d’exister, donc nous aussi avons le droit de pratiquer nos rites et de nous comporter selon nos coutumes ».

     

    Cachant leur véritable aspect de secte satanique ils avancent en attendant l’instant qui leur serait favorable, le moment où ils deviendraient si nombreux que les autres habitants n’oseraient plus montrer leur mécontentement de devoir cohabiter avec une secte ouvertement satanique.

     

     

    Si cette secte existait de nos jours, si elle continuait à progresser dans le monde et à se propager partout y compris en Europe, se trouveraient-ils un gouvernement, et une population, capables d’éradiquer l’épidémie satanique ?



  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 24 janvier 2015 17:41

    « Alors c’est quoi un vrai musulman ? »
    La réponse est dans mon premier commentaire.
     
    Mahomet est à l’origine de l’islam.
     
    Donc à l’évidence ceux qui suivent l’exemple donné par Mahomet sont des vrais musulmans. 
     
    Je veux bien répéter une fois de plus :
     

    Ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.

     

    La violence est ainsi inextricable de l’islam car dès ses origines la violence a imprégné l’islam.

     

    Les religions ne se valent pas, l’islam n’est pas une religion comme une autre.

     

    La voie montrée par Jésus est tout à fait différente. Jésus prêchait la tolérance et la bonté envers tous sans distinctions ; il n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne.

     

    Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance envers ceux qui n’obéissent pas aux règles qu’il a édictées : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.

    Par son comportement Mahomet à validé tout ce qu’aujourd’hui, en France, on appelle « l’islam radical ».

     

    Si la question « C’est quoi se radicaliser ? » est posée à propos de l’islam, alors on doit constater que l’islam EST radical depuis ses origines,  il ne s’est pas radicalisé récemment. Du moins si on parle du véritable islam, celui des musulmans qui suivent la voie montrée par Mahomet.

     

    Donc sous l’éclairage de l’islam donné par l’exemple de la vie de Mahomet comment situez-vous les djihadistes : parmi les vrais musulmans ou parmi les faux musulmans ?

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