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Mikhal

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Après avoir œuvré 12 ans pour promouvoir des formes artistiques peu connues (musiques du monde et cinéma d’animation), je m’engage dans des actions multiformes avec l’objectif commun de laisser une Terre propre et un avenir acceptable aux enfants du monde.

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  • Premier article le 17/10/2007
  • Modérateur depuis le 03/04/2008
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Derniers commentaires



  • Mikhal Mikhal 24 octobre 2007 17:53

    @ Clem

    Désolée, mais je ne vous suis pas. « Hypothétique rechauffement » ?! Même les sceptiques - dont fait partie l’auteur de l’article ci-dessus - ne remettent pas en question le réchauffement climatique car ceui-ci ne peut qu’être constaté. Ils remettent en question la responsabilité humaine. Mais, comme je l’ai dit dans un commentaire plus haut, même ceux qui nient le caractère anthropique du réchauffement ne peuvent nier d’autres désastres écologiques dont l’Homme est actuellement responsable et qui dénature la planète de façon irréversible. Je parle de pollutions de toutes sortes, de surexploitation (des terres, des forêts, de l’eau douce, des océans...), etc. Ni les Chinois ni les Africains n’ont besoin d’en être convaincus. Ils ne sont pas dupes. Les pays émergents sont en voie de développement car ils suivent l’exemple occidental et bénéficient d’aides (financières et technologiques) de cet Occident. Ceux du Tiers-monde suivent péniblement. C’est de notre responsabilité de leur fournir immédiatement les savoir-faire que nous avons déjà en la matière (énergies propres, modes agricoles non-polluants, gestion durable de l’eau douce, etc), et de leur faire bénéficier de la recherche que nous menons depuis de nombreuses années sur ces questions. C’est la moindre des choses que de ne pas leur apporter des « cadeaux empoisonnés » que sont les énergies fossiles et le nucléaire (pour ne parler que d’énergie).



  • Mikhal Mikhal 19 octobre 2007 22:48

    C’est tellement facile de prendre des bribes d’informations, ne pas creuser, et s’en servir comme « arguments » pour tout et n’importe quoi...

    Ici, un article de vulgarisation proposé par des climatologues vous informera au sujet du délai de 800 ans qui existe dans les variations climatiques naturelles entre augmentation des températures et de la concentration atmosphérique de CO2 : www.realclimate.org.



  • Mikhal Mikhal 19 octobre 2007 22:21

    La fiscalité est un point très sensible en France, mais taxer les pratiques et les produits polluants, c’est une façon de réajuster le vrai prix des choses, le prix écologique. Car en réalité, on paie les produits polluants en deux temps : à la caisse, mais il y a un complément qu’on a tendance à oublier et qui est pourtant très important : les coûts environnementaux sont facturés aux contribuables (pollution chimique des sols, de l’eau, de l’air et des aliments, impact sur la santé, appauvrissement des sols et de la ressource en eau...). Si ces coûts avaient été tous intégrés dans le prix payé à la caisse, les consommateurs n’auraient eu aucun doute au sujet de « l’intérêt » d’acheter plutôt des produits non-polluants. En attendant qu’une telle réforme voit peut-être le jour, la taxe sur les prix des produits polluants peut déjà jouer ce rôle de frein à la consommation et récolter de l’argent qui devrait être investi dans la recherche et le développement de produits non-polluants.

    Il est inutile de développer d’allergie contre le paiement de taxes et d’impôts, mais il faut être vigilent à la répartition et l’emploi de cet argent par l’État. Parfois, il faut aussi faire l’effort de se rappeler que nous sommes en démocratie, et lorsqu’on constate des aberrations, on doit pouvoir les montrer du doigt librement et demander au gouvernement de rectifier son tir (ou en élire un autre). Exemple de ce que je trouve être une aberration édifiante, à laquelle je vous laisse méditer : le budget de l’État 2007 a consacré 36 milliards d’euros à la Défense (pour se défende d’une ennemi inconnu, hypothétique, pour avoir de quoi le dissuader et le « contre-attaquer » au cas où...) et seuelment 637 millions d’euros au Ministère de l’Écologie et du développement durable (pour se défendre d’un ennemi bien connu, bien réel, qui est en train de dégrader notre environnement sous nos yeux et de compromettre l’avenir de nos enfants - je parle des pratiques des industriels et des citoyens en termes de consommation d’énergie et de biens). Sans aucun doute, la politique, c’est bien une question de choix de société...



  • Mikhal Mikhal 19 octobre 2007 10:17

    J’ai bien compris que c’est à mon commentaire que vous vous adressiez, qui est ci-dessous et non à celui ci-dessus.

    Décidemment, vous continuez à me consterner.

    1 - Vous dites : « L’eau ne se raréfie pas (...) c’est une question (...) qui n’ a rien à voir avec l’activité humaine. » Et le surpompage des nappes phréatiques ? Et la déviation des cours d’eau ? On le doit au Saint-Esprit ? Bien évidemment, l’eau ne disparaît pas de la surface de la Terre, mais le réchauffement provoque - doucement mais sûrement - une évaporation plus importante, une fonte de glaciers qui servent encore (mais plus pour très longtemps) de sources à de grandes rivères (comme l’Himalaya qui alimente en eau une énorme population en Chine et en Inde), et des perturbations pluviométriques qui causent des sécheresses par endroits et des innondations ailleurs. Tout cela provoque incontestablement une pénurie d’eau potable (car c’est bien de cela qu’il s’agissait). Pour en savoir plus, voyez-donc ce qu’en dit l’OCDE ou encore le FAO.

    2 - Vous dites : « La sécurité alimentaire n’a jamais été autant assurée que depuis ces 20 dernières années. » Il y aurait trop de choses à dire... Je vous renvoie là aussi vers le FAO qui a créé un Programme spécial pour la sécurité alimentaire. Un excèes de zèle sans doute...

    3 - Vous dites : « le lobbying des anti OGM préfererait voir le quart monde mourir de faim plutôt que de laisser développer des plants de riz ou de maïs résistant à leur prédateurs naturels. » Là encore, ce sont des idées reçues. Visiblement, vous avalez ce que le lobby des industriels d’OGM avance comme argument grotesque. Je vous suggère d’écouter ce qu’en dit Christian Vélot, chercheur à l’Institut de génétique et de microbiologie dans cette conférence. Les cultures OGM c’est une histoire de gros sous et ce n’est pas exactement ce qu’ont les paysans du tiers-monde en poche... Ne soyez donc pas aussi naïf.



  • Mikhal Mikhal 19 octobre 2007 09:27

    J’ajoute que je suis 100% d’accord avec le commentaire précédent. Que certains soient sceptiques au sujet de la responsabilité humaine dans le réchauffement climatique, soit. Certains ont des intérêts financiers à l’être (toujours le profit à court terme) et certains cherchent simplement à se rassurer ou à se voiler la face.

    Mais personne ne peut nier l’ampleur des dégâts écologiques qui sont causés par nos diverses pollutions, par nos « fausses bonnes solutions » (comme le nucléaire par exemple) et par les pénuries de pétrole, de gaz, de diverses matières premières et surout d’eau et de terres arables, qui s’annoncent dans les prochaines décennies.

    Tous ceux qui se voilent la face et qui tiennent à continuer comme avant, voire à développer encore davantage notre surconsommation des ressources naturelles (y compris en encourageant les pays émergents à suivre notre mauvais exemple), portent une très grave responsabilité et auront un jour à répondre à leurs petits-enfants pourquoi ils ont agit ainsi. La responsabilité du devenir de la Terre et surtout de l’humanité, nous la partageons tous, et c’est à chacun de voir quel comportement lui dicte sa conscience.


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