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poetiste

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Retraité de 69 ans. Devenu à la retraite : écrivain : (un livre : Poéthique) et musicien : (guitare classique). Intérêt : philosophie.

Tableau de bord

  • Premier article le 26/04/2010
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Ses articles classés par : ordre chronologique




Derniers commentaires



  • poetiste poetiste 22 mars 2010 11:46

    Cortex n’est pas un cerveau supérieur. Question : peut-on appeler « cortex » une cervelle d’oiseau. Cortex emmerde la « Marine » et voilà ce qu’elle lui dit la « Marine » : « viens t’expliquer au tribunal ». On peut dire que l’on n’approuve pas le front national, mais d’une manière plus élégante. Entrer dans le jeu de la violence verbale, ce n’est pas râper mais déraper. Monsieur cortex, sachez qu’une personne « avisée » ne se met pas comme ça dans la ligne de « mire ». Derrière le « front » national, il y a aussi un petit « cortex » qui a vu en vous une personne à viser. Et vous desservez votre cause. C’est râpé !
    A.C



  • poetiste poetiste 20 mars 2010 22:21

    Je vois dans : « idiot utile », deux termes, l’un péjoratif et l’autre laudatif. Je ne retiendrai que le terme péjoratif pour boubi. Ce gus est insultant mais il n’est pas un sultan, toute sa contradiction douloureuse est là. Ah ! là, oui, vraiment là ! Il dit « gave » à Malik, qu’il aille s’y tremper dans le Gave qui passe à Lourdes et qui fait des miracles. Le miracle de ne pas dire des âneries et de devenir intelligent, on ne sait jamais, ça pourrait le tenter. Tiens ! voilà que je me mets à croire au miracle, restons réaliste. Laissons le gus fouiner la terre pour chercher des truffes sionistes ou pas, pour de vraies truffes, il pourrait être « utile », ce n’est pas idiot. Voilà ce que vous auriez dit, Monsieur, si vous aviez eu ....etc...Relisez Cyrano de Bergerac, le miracle pourrait venir de là.
    A.C



  • poetiste poetiste 19 mars 2010 09:10

    Oasis démocratique :

    La démocratie est l’abandon des mots crasseux, l’abandon du gros sale air, des disparités disparates, de l’exclusion des uns au bénéfice des autres. Notre démocratie donne trop d’écho à l’ego qui ne règle pas son écot ? Le chacun pour soi Dieu pour tous s’est immiscé dans notre système démocratique. La tentative de partage a échoué. Des mots, toujours des mots démagogiques, démobilisés ! Coluche avait raison : la dictature, c’est : « ferme ta gueule ! » et la démocratie est devenue : « cause toujours ! ». Qu’est-ce qu’on cause pour rester sur ses positions dans une démocratie, pour que rien ne change, pour que ce soit toujours les mêmes qui tirent les marrons du feu ! Ave Marianne, ceux qui vont mourir te saluent. Voter ne suffit pas, on ne peut éternellement choisir la sauce avec laquelle on sera mangés. Bon ! Ne crachons pas dans la soupe, on est quand même mieux qu’au Myanmar, ou en Corée du Nord et c’est la bonne raison de la défendre, notre chère démocratie qui aurait tendance à se déliter.
    A.C



  • poetiste poetiste 18 mars 2010 13:55

    Réponse à « x ».

    La répression régression a la vie dure, elle s’acharne, elle persiste et signe. Aucune correction de trajectoire, l’argument électoral sécuritaire revient comme un boomerang à la face de ceux qui l’utilisent et on insiste. On ne change pas une méthode qui fait perdre.
    Mais où est donc la notice, dit une chanteuse de talent. Où est donc la notice pour la prévention, la prévention, un art beaucoup plus subtil, beaucoup plus courageux et moins simpliste que la répression.
    Un gus me « moinsse » sur mon écrit précédent, il a dû se reconnaître, être démasqué et en être atteint. Il pourrait se présenter.
    Quand on perd la responsabilité qui donne autorité, on n’a plus d’autorité, est-ce si difficile à comprendre ? La « force tranquille », la pub en a fait un slogan, rien de plus.
    Et pourtant, si des politiques pouvaient s’approprier une promotion de la paix, de la force et de la responsabilité, la violence n’aurait plus lieu d’être.
    On respecte l’autorité quand elle est respectable, pas quand elle veut tirer profit de dysfonctionnements liés à un non partage des biens et à la peur qui s’ensuit.
    La police n’est pas responsable de ce qu’on lui demande et il y a des demandes de remise en question au sein de ses membres, ça c’est réjouissant ! Les policiers veulent être respectés, ce qui est la moindre des choses mais qu’on ne leur demande pas de « faire du chiffre », qu’on les engage sur un terrain plus humain, qu’on leur donne des moyens aussi.
    L’escalade a assez duré. Le prochain parti qui fait campagne sur la sécurité pour gagner des voix, il se coupe à jamais de mon vote.
    A.C



  • poetiste poetiste 18 mars 2010 09:25

    Retour à la case départ :

    En ce temps là, la France avait voté sécuritaire. Les êtres inconséquents et pusillanimes s’étaient précipités fébrilement et frileusement, tous dans le même sens, vers les urnes. La peur est décidément une très mauvaise conseillère. Ce qui devait arriver arriva, le Front National récupérait ses électeurs, laissant ce qu’il est convenu d’appeler la « droite » à méditer sur son double jeu. On ne pactise pas avec ceux qui tirent sur la corde sensible de la peur pour justifier leur soif de pouvoir.
    Et voilà que Monsieur Fillon, dans sa précipitation de vouloir tirer encore sur cette corde sensible, en rajoute, se trompe, annonce la mort d’un policier encore vivant. Que de bourdes reviennent à la figure de leurs annonceurs aux abois !
    Ce que pouvait être ridicule et mesquine le fait de stigmatiser une légère bourde qui n’en était pas vraiment une, celle de Ségolène Royal sur la « bravitude ». Le néologisme n’a jamais été un péché mortel mais la manipulation politique à court terme en est un.
    Il faut arrêter de prendre les électeurs Français pour des demeurés, les manipuler et vouloir tout décider à leur place. Il est vrai qu’une dictature ne peut s’instaurer qu’en nivelant par le bas mais la résistance démocratique n’est pas morte : Halte là, les Montagnards sont là !
    Il ne faudrait cependant pas croire que le parti socialiste puisse redonner le sens de la responsabilité, l’espoir d’un renouveau en notre douce France. Ce parti a montré qu’il avait oublié sa devise : « tout ce qui est humain est nôtre ». Dans son triomphalisme, il ne dit pas : « on a gagné, on va partager, les petites gens vont vivre décemment », il pense : « notre tactique électorale triomphe, elle se fonde sur la déconfiture de notre adversaire ».
    On ne fait pas du positif avec du négatif : le parti dit « socialiste » se distingue très peu de la droite. On assiste à une lutte entre frères jumeaux.
    Il n’y a pas de miracle dans la compétition, la course au pouvoir contraire à l’esprit démocratique. Les consciences ne vont pas spontanément se réveiller et les socialistes ne vont pas manifester dans les rues avec des calicots où il serait inscrit : « partage ». Ils ne vont pas venir en personne aider à déloger les cafards des taudis.
    Arrêtons de rêver, la crise est dans les consciences, dans la volonté de chacun, elle est insurmontable pour ceux qui sont jetés à la trappe. Dans un contexte international de « struggle for life » sans merci où le pouvoir est prioritairement à l’argent propre ou sale, qui pourrait conduire la France de main de maître plus passionné de responsabilité que séduit par le pouvoir ?
    Faut pas rêver ! Des hommes de cette trempe n’existent plus. Le manque de confiance dans les hommes politiques explique l’abstention aux élections.
    Un gouvernement qui « réussit » à réduire la confiance parmi les citoyens est en échec dans une démocratie. Hé ! Le facteur humain n’est pas côté à la bourse mais il ne faudrait pas croire qu’il n’a pas de valeur ; il est le placement à long terme. Puissent les politiques ne pas perdre cela de vue.
    Je rêve d’une France partageuse et courageuse, (laissez-moi rêver, ne serait-ce qu’une seconde). Les luttes intestines au parti socialiste, mises en veilleuse dans la conjoncture des régionales, n’ont pas dit leur dernier mot.
    La résurrection n’aura pas lieu, nous sommes toujours sur la planche savonneuse. A moins que ? A moins que ?
    Mais pour l’instant, le premier ou la première qui scande les syllabes d’un mot bien inscrit sur les frontons des mairies, à savoir : « fraternité », sera tourné en ridicule ? Il n’est pas bon de rappeler des évidences là où on prétend résoudre des problèmes sans considérer les données premières qui sont indispensables à leur résolution. Tout va donc si vite qu’on ne puisse revenir à la source ?
    A.C

     

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