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Sophie

Sophie

 Journaliste cynophile, voilà pour le job actuel. Une foule d’autres activités ludiques au compteur, au premier rang desquels, dans mon panthéon personnel, je place l’écriture. Et puis à présent ce souhait, chers condisciples de l’internet et de la blogosphère, de communiquer avec vous. Contrairement à certain(e)s, j’ai le sentiment qu’on ne pense pas assez : une dose de philosophie, de réflexion et d’ironie n’a jamais fait de mal à personne. Si le coeur vous en dit, venez donc Chez Sophie occuper un peu de votre temps de cerveau disponible.

Tableau de bord

  • Premier article le 25/07/2007
  • Modérateur depuis le 11/09/2007
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Derniers commentaires



  • Sophie Sophie 5 septembre 2008 10:42

    Merci pour l’information, la dénonciation, l’indignation. Hautement partagée.



  • Sophie Sophie 8 mai 2008 18:19

    Très bon article, qui dénonce avec clarté et densité le système et ses thuriféraires. Quant au vocabulaire, il claque comme une beigne, et c’est très bien ; sans que cela devienne un présupposé obligatoire à toute indignation, la grossièreté peut être parfois pertinente.

    Bon, maintenant, quand est-ce qu’on flanque tout ça par terre ?



  • Sophie Sophie 29 avril 2008 04:19

    Merci pour vos mercis, ainsi que pour les références citées, je ne connaissais pas ces ouvrages.

    Au péripate. Il est bien évident que le prélevement d’organes par la force ou en extorquant le consentement est ignoble en soi. Mais si ces pratiques existent, c’est bien parce qu’il est fait marché du corps humain. Entre la vente d’ovocytes et la vente d’organes, il y a une différence de degré, non de nature. Or le corps humain et ses substances devraient à mon sens être considérés comme absolument incompatibles, conceptuellement parlant, avec une interaction de nature commerciale.

    A Philippe. L’éthique du corps fait partie des choix de sociétés. Espérons que suffisamment de nos concitoyens se réveilleront pour repousser par les urnes le modèle actuellement dominant. Ce que nous faisons en le dénonçant n’est pas inutile, j’ose le croire.

    Vivre en bonne santé et le plus longtemps possible, d’accord, mais pas en l’ayant extorqué chez autrui. Il n’est pas hors de notre portée cependant, de comprendre qu’une personne en danger de mort se résolve, si elle en a les moyens financiers, à acheter l’organe salvateur. Que ferions-nous à sa place ? C’est donc seulement la mise en place d’une législation internationale, réclamée d’ailleurs par l’OMS, qui permettrait d’abolir ces pratiques.



  • Sophie Sophie 28 avril 2008 15:59

    Grand merci aux aimables commentateurs.

    Voici en complément d’information un lien sur un article du Guardian : il parait que la peau de condamné à mort chinois fait un excellent collagène pour combler les rides...

    www.guardian.co.uk/science/2005/sep/13/medicineandhealth.china

     



  • Sophie Sophie 3 février 2008 19:31

    Je maintiens, n’en déplaise à certains, que nous vivons une bascule civilisationnelle contre laquelle il nous faut lutter. Les barbares ne sont pas les gens qui en souffrent ou qui sont appelés à en souffrir, mais ceux qui organisent cet écrasement des valeurs humanistes et en profitent. Quelques soient les diversités individuelles et culturelles - diversités à préserver évidemment -, ces valeurs sont universelles, sans quoi elles ne sont tout simplement pas ! Or on voudrait de nos jours nous faire croire que le Marché est la seule universalité, le seul modèle possible. Je préfère croire en l’homme plutôt que révérer le profit, le gaspillage, l’injustice sociale et la dévastation de la planète qui vont avec, et je ne vois pas que défendre des positions de gauche puisse faire douter de ma santé psychologique ni de ma sincérité... Donc je rassure Eric : je me porte très bien, et je pense et je vis ce que je dis.

    Un détail, au niveau du vocabulaire : la langue française est riche, servons-nous en. A titre d’information pour le commentateur qui s’en étonnait défavorablement, "pouacre" signifie "nauséabond" ; j’apprécie ce mot pour ses sonorités, qui s’allient particulièrement bien à mon avis avec son sens.

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