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srobyl

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Je ne demande qu’à être convaincu (en un seul mot) par vos arguments

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  • Premier article le 11/02/2009
  • Modérateur depuis le 10/03/2010
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Derniers commentaires



  • srobyl srobyl 13 novembre 2011 17:18

    Excellent coup de gueule !
    Il y a longtemps que l’existence de ce genre de truc merdique m’étonne et m’exaspère. La dernière connerie (ou l’avant dernière...on a du en trouver d’autres depuis) qu’on a réussi à coups de pub à faire passer pour un objet indispensable, pour des particuliers qui n’ont que très peu de surface à entretenir... Il en est d’autres, tout aussi chers, bouffeurs d’énergie, bruyants comme le fendeur de bûches (tudieu, qu’on m’apporte un merlin !) ou le broyeur de végétaux (et les déchetteries alors ? ou un bon feu de joie...bon, il est vrai que c’est pas toujours autorisé)
    Société de remonte-pentes...qui se demande comment économiser l’énergie et se plaint du manque d’activité physique et du cholestérol galopant !



  • srobyl srobyl 13 novembre 2011 16:57

    Bonjour Morice, bonjour à tous
    Merci pour cet article fort intéressant. Une toute petite remarque cependant quant à la théorie de Wegener, mise à tort trop longtemps « au placard »et qui a eu l’énorme mérite, tout en donnant le coup d’envoi d’une nouvelle vision du globe, de proposer une explication à des faits géographiques, entre autres...mais qui n’a en aucun cas parlé de plaques, encore moins d’expansion des fonds océaniques, ni de volcanisme des dorsales, ces dernières structures étant encore inconnues à cette époque, pas plus que l’existence des points chauds. Il n’est plus question de « dérive », ce qui impliquerait des mouvements aléatoires, mais d’expansion orientée selon des axes connus.
    Il était cependant naturel d’évoquer le mérite de ce vieux « père fondateur », dont la théorie a été tout de même fortement revue à la lumière d’observations ultérieures



  • srobyl srobyl 9 juillet 2011 17:10

    La reproduction sexuée ne fait pas forcément apparaître de nouveaux gènes. Il y a brassage génétique, suite aux recombinaisons durant la méiose et à la rencontre aléatoire de ces gènes à la fécondation.
    Mais il reste quelque chose d’assez troublant : chez les espèces dotées des deux types de reproduction, la reproduction asexuée, qui prévaut lorsque les conditions de mlieu sont très favorables(température, hygrométrie,nourriture suffisantes...) cède la place à la reproduction sexuée quand le milieu devient plus ou moins « hostile ». c’est ce à quoi on assiste chez le phasme Carausius morosus quand la nourriture devient moins abondante. On passe alors, malgré les difficultés imposées par ce mode de reproduction « aux choses sérieuses », comme s’il ne s’agissait plus de faire de l’à peu près...Le plus faible nombre de descendants serait-il alors compensé par un mécanisme assurant une meilleure préservation des caractéristiques fondamentales de l’espèce ?



  • srobyl srobyl 26 juin 2011 17:34

    Bonjour
    j’ai eu l’occasion d visiter les installations de Soultz-Sous-Forêts il y a quelques années. Ce projet a été co-financé par plusieurs pays et est encore avant tout, pour l’instant, même s’il est productif, un pôle de recherches sur la géothermie.
    On n’est plus, là dans les 8O °C du bassin de Paris et donc bien en dessous de la couverture sédimentaire. Les profondeurs atteignent 5 km. Il s’agit de tomber dans des granites microfissurés et -c’est là une des diffficultés majeures- de provoquer leur ouverture par injection sous très haute pression de liquides appropriés, car ces fissures, c’est le hic, sont virtuelles c’est à dire obturées par les circulations hydrothermales qui les ont minéralisées. A la suite de ça, et à cause des contraintes existant à ces profondeurs, ainsi que du rôle du « lubrifiant » , il se produit des mini-séismes et les bords des fissures se remettent en contact, mais moins hermétiques, permettant ultérieurement une circulation d’eau, sous forte pression. 
    Les difficultés techniques de forage et d’injections sous pression sont telles que les machines qui le permettent sont d’un coût exorbitant. On est obligé d’en louer certaines à l’étranger (USA).. Ceci dit, c’est un secteur qu’il convient , si j’ose dire, d’approfondir...



  • srobyl srobyl 13 juin 2011 18:16

    Bonjour
    Cette histoire de contamination par une bactérie coliforme (il en existe de très nombreuses variétés dont certaines inoffensives, et même l’élément microbien fondamental de la microflore intestinale, indispensable entre autres à la source de vitamine K) n’a strictement rien à voir avec le type de production, bio ou pas. Si la production d’aliments par une agriculture biologique peut parfois être critiquable, ce n’est pas à partir de ce type d’exemple
    N’importe quel porteur d’un coliforme pathogène peut contaminer un aliment au cours de sa chaîne de fabrication si les règles d’hygiène sont défaillantes. Quand on connait le taux de mutation chez les microbes, et si un petit groupe de mutants « chanceux » tombe dans un terrain favorable (température, humidité, présence de protéines...) le tour est joué, plus particulièrement si ledit terrain a été débarrassé de germes concurrents. Le bio n’a rien a voir là dedans, ni les Allemands.

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