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srobyl

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Je ne demande qu’à être convaincu (en un seul mot) par vos arguments

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  • Premier article le 11/02/2009
  • Modérateur depuis le 10/03/2010
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Derniers commentaires



  • srobyl srobyl 12 mai 2011 07:22

    Bonjour à tous
    Merci pour tous vos commentaires. Certains semblent avoir disparus...Bizarre. Merci à celui qui m’a informé de la vente par la France de zyklon B à l’Allemagne. Pas très surprenant au fond, les scrupules se sont toujours effacés devant les intérêts économiques, surtout s’il en est de privés.
    Quant à la vente de baignoires ou de machettes, là je dis non. Alors qu’il est extrêmement peu fréquent que ces objets soient utilisés à des fins de torture ou de meurtre, il faut bien reconnaître, à moins d’une certaine dose de mauvaise foi, qu’il est très rare d’envisager d’utiliser un char d’assaut pour se laver ou un AK 47 pour débroussailler.
    ceux qui fabriquent des armes savent qu’ils tiennent entre leurs mains des engins de mort. Et l’argument de la dissuasion, dans le cas d’armes plus élaborées, me fait rigoler. L’Histoire est pleine d’exemples qui montrent qu’un jour où l’autre elles sont utilisées



  • srobyl srobyl 11 mai 2011 09:48

    Bonjour, Daniel Arnaud

    Entièrement d’accord avec votre analyse et vos propositions. Les « pédagogistes » animés de bonnes intentions, ont favorisé la situation actuelle, qui ne correspond pas à leur philosophie initiale. Balayer le collège unique est une solution inappropriée à ce problème, mais qui arrange les partisans des castes. Je suis aussi attaché à l’idée de la perfectibilité de l’être humain. Comment d’ailleurs ne pas y croire fermement dès lors qu’il s’agit d’enseigner ? Il ne faut pas négliger cette possibilité de progresser un jour, même si elle ne s’applique qu’à un petit % d’individus.
    Après avoir travaillé pour financer mes études, je suis retourné en fac où j’ai rencontré un ancien copain de collège, qui était alors considéré comme un cancre laborieux. j’appris alors qu’il n’était plus étudiant, mais maître de conf...
    Donc,des passerelles...Sinon a quoi ça aurait servi qu’Aldous se décarcasse !



  • srobyl srobyl 28 avril 2011 21:37

    Kerjean
    Mes platitudes et mes lieux communs ont dû vous faire croire que je défendais la prostitution. Dans dix ans, si la loi passe, je n’aurai aucune honte de ce que j’ai écrit. Si cette loi passe, elle ne fera que modifier les paramètres de ce problème, qui perdurera cependant, sous une forme peut-être pire.
     Je ne crois pas à la répression comme valeur éducative, et si c’est vrai que les clients des putes sont quelque part des handicapés du sexe comme vous le dites, punir un handicapé ne paraît pas une solution très intelligente ni très humaine.
    d’autre part, « acheter un viol » me paraît excessif. Bien évidemment que la grande majorité des prostituées sont amenées à faire cette activité contre leur gré, faute de mieux (pas de mieux rétribué, bien sûr). Mais alors , celles et ceux qui font un boulot de merde qui les répugne, pour assurer leur quotidien, ils sont violés eux aussi ?
    Il y a aussi des petits plaisantins qui ont fait semblant de ne pas comprendre « acheter les services sexuels » à la place d’« acheter le sexe ». Amusant.



  • srobyl srobyl 20 avril 2011 14:49

    Bonjour, Vinvin

    je ne connais pas votre parcours personnel et je comprends en partie votre point de vue. Mon respect va aussi aux femmes qui utilisent le créneau de la prostitution pour faire vivre leur famille ; Dans mon patelin, dans les années 50, il y avait un bistrot ....et « Ninette »,la patronne, qui, de notoriété publique, s’adonnait à cette activité pour financer les études de ses gosses, avec un mari alcoolique et bon à rien. Même des femmes très conformistes lui trouvaient une sorte de courage.
    Cependant, je vous trouve un peu cynique. Je ne me suis jamais bien entendu avec la mienne (de mère) qui était autoritaire, et avait des tonnes de défauts. Elle est morte en 2009. Mais même si j’avais eu connaissance d’une quelconque activité vénale de sa part, elle me manquerait tout autant, et bien qu’elle ait très peu subvenu à mes besoins financiers quand j’étais jeune, et même un peu pourri mon enfance, j’ai tout pardonné.
    Réflechissez-y



  • srobyl srobyl 19 avril 2011 20:00

    Bonjour, Ariane
    En effet, le commerce du sexe est un commerce un peu « part », comme beaucoup d’autres, légaux ou non. Comme vendre de la pornographie, vendre de l’illusion de fortune sous forme de jeux de hasard, avec la bénédiction de l’Etat, vendre du charlatanisme, et autres magies tricheuses à des personnes en détresse. Même si je suis contre, pour les raisons que vous invoquez, car un trop grand % de misères en tous genres se trouve associé à l’activité de prostitution, j’ai quand même une plus grande estime pour les prostitué(e)s « qui offrent leur joli corps contre une pièce en or... » selon la chanson, que pour une myriade de saloperies parfaitement acceptées car indépendantes du cul, mais qui sont infiniment plus dégueulasses. Alors, c’est vrai, « du cul de merde » comme vous dites, et c’est bien triste et même « si ce n’est pas l’enfer, c’est loin du paradis »...en effet. mais vous faites bien de dire « de nos jours », car il n’en était pas de même autrefois...Avant 68 par exemple.
    Toutefois, (c’est un détail, mais...) relisez-vous : « J’aimerais tt de même qu’on dise qu’il y a très peu d’hommes qui ne vont pas , même quand ils n’ont pas de femme sous la main, se soulager chez les putes » Deux négations, ça vaut une affirmation, non ?

    Rapprocher l’euthanasie du putanat, c’est audacieux, je vous le concède. Donc j’explicite : Eros, Thanatos. Un cap à franchir, un tabou à vaincre. Deux actes qui, même s’il sont acceptés, se font plus ou moins à contre coeur, faute de mieux : la vie, le bel amour.
    Bien sûr qu’il y a des différences fondamentales : le fric par exemple, bien que...si l’euthanasie est légalisée, il ya du pèze dans l’affaire. 

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