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Commentaire de et ouais

sur Viol : à quand un changement des mentalités ?


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et ouais (---.---.233.216) 30 juillet 2006 20:29

LE VIOL DES FEMMES NON VOILÉES

Résumé en français (d’un article paru en anglais) et conclusions par Albert Soued www.chez.com/soued/conf.htm

Visitez aussi www.nuitdorient.com

Jamie Glazow, animateur du site www.FrontPageMagazine.com , a animé un symposium sur le viol des femmes européennes « non voilées », à la suite de la recrudescence de ces actes en Europe, au point qu’on parle d’épidémie (1).

Ce symposium a réuni Pierre Rehov, un cinéaste français (six documentaires sur l’intifada), Nancy Kobrin, psychoanalyste israélienne et arabiste à l’université de Haifa, Peter Raddatz, un spécialiste allemand d’études islamiques, coauteur d’une Encyclopédie de l’Islam et auteur de nombreux livres liés au Jihad et à la terreur, Gudrun Eussner, universitaire turque formée à Berlin et spécialiste de la philologie Iranienne, a vécu dans de nombreux pays islamo-arabes.

Les principaux arguments sont résumés ci-dessous.

La « forme normale » d’un être humain en Islam est l’homme, qui assume l’obligation et le devoir d’assister Allah pour préserver et développer la nation-mère, la Ouma. En termes biologiques cette pensée exige de l’homme qu’il soit l’être pur qui domine l’être impur qu’est la femme, proche de l’animal. Ainsi la sexualité ne peut pas être sublimée et elle a un double objectif, inséminer (ou fertiliser) et punir.

Fertiliser sert l’expansion de l’Islam, et punir c’est transformer la sexualité en une arme contre les Musulmanes désobéissantes et les femmes « infidèles » (contre lesquelles le jihad est un devoir). Les femmes conquises par le jihad sont des esclaves au service des vainqueurs.

Les Européennes sont ainsi responsables de leur viol, car leur accoutrement, leur allure, leur comportement ne sont pas conformes à la loi islamique. Jihad ou pas, la femme européenne doit respecter les usages de l’Islam au sein d’une société multiculturelle.

En Islam, le mâle est dominant et puissant, puisqu’il a été créé pour servir Allah, alors que les femmes sont créées comme un mal nécessaire pour tenter le mâle. Le corps d’une femme est « diabolique » et doit être maîtrisé, dominé, comme preuve de la foi en Allah.

Ainsi lors d’un acte sexuel, l’homme cherche à dominer le diable, tout en ayant peur de lui. Tout acte sexuel devient une lutte, un viol. Non seulement le violeur n’est pas responsable d’un acte considéré ailleurs comme répréhensible, mais il fait oeuvre utile dans le cadre du jihad demandé par Allah, il fertilise et il punit. La mère de tout violeur le disculpe automatiquement affirmant que c’est la femme européenne qui a provoqué son fils qui n’a fait que « se défendre ».

Privé d’un plaisir naturel, le mâle musulman a une grande frustration. De plus, il a peur de ne pas être à la hauteur de sa tâche, d’être impuissant. Peur et frustration entraînent la violence.

La peur, la frustration, la violence sont enseignées dès l’enfance, puisque l’enfant voit sa mère battue et vilipendée. Il est lui-même battu. Ceci est monnaie courante dans les foyers musulmans. Le viol se situe dans cette continuité et reste dans la norme de la violence. Cette dynamique familiale engendre la rage, la volonté de puissance et l’agressivité qui se répercutent dans un acte sexuel, devenu un moyen de lutte et de défoulement et non une fin de plaisir.

De même l’enfant mâle voit sa mère comme un être inférieur qui refuse de se défendre (la norme l’en dissuadant). Grandissant, il reproduit le schéma de la violence paternelle, cherchant à punir sa mère de sa conduite et de sa faiblesse.

Le mâle apprend ainsi à mépriser la partie féminine de lui-même, devenant « macho » sur le plan psychique. Il va jusqu’à mépriser tous les attributs féminins et non seulement les attitudes ou les réactions dites « féminines ». Il méprise ainsi le vagin au profit de l’anus. La forme « normale » de l’acte sexuel est l’agression anale et la tendance du macho est de préférer la relation homo ou pédo, le viol, les tournantes, incapable d’une relation sexuelle homme-femme sublimée.

Allah admire la puissance phallique et l’assistance embrasse le pénis lors de la cérémonie de circoncision musulmane.

Cet ensemble psycho-social déformant la relation homme-femme et homme-mère mène inévitablement à une pensée fasciste et totalitaire.

Et la société environnante sombre de plus en plus dans cette culture de régression totalitaire, par mimétisme, par goût ou par peur. Lentement, insidieusement mais sûrement.

(1) dans une ville du Sud de la France on compte 10 viols déclarés par semaine, 80% des violeurs sont musulmans et 30% des viols ont lieu lors de « tournantes » (viols collectifs)


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