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Commentaire de R.Hauglustaine

sur Vaccination : la systématisation devient possible


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R.Hauglustaine 17 décembre 2007 11:51

« OU RESTE LE RESPECT DE L’INDIVIDU, LA DIGNITE DE L’ESPRIT, LA SCIENCE (1) EN FACE DE DOCTRINES OBLIGATOIRES ET INFAILLIBLES ASSORTIES DE SANCTIONS PENALES ? » Maître Frédéric HOFFET

Maître Frédéric HOFFET, Avocat au Barreau de Strasbourg, et qui avait perdu un enfant à la suite d’une vaccination écrit : « Il y eut aussi, chez Petit Pierre, cette étrange connaissance, qui fait que les tout petits en savent souvent davantage que les hommes de science sur les problèmes les plus angoissants de la vie. Il en savait en tout cas plus que nous sur les dangers de cette drogue par laquelle nous lui donnâmes la mort pour le protéger d’un mal hypothétique. Plongés par tout leur être dans l’universel, les tout petits sentent ce que nous ne sentons plus. Ils sont plus près de Dieu qui voit et connaît tout, affirme le croyant... Ce qui est intéressant dans le cas de mon fils, c’est la lumière qu’il jette sur les méthodes de l’Institut... et de nos autorités médicales et sur les vices de raisonnement qui heurteraient d’emblée le moindre professeur de logique, le moindre juge d’instruction. Au lieu de savants froids et pondérés que j’avais cru trouver, je découvris des pontifes remplis de leur importance, n’acceptant pas la moindre contradiction et élevant au niveau d’à priori indiscutables les doctrines peut-être intéressantes, peut-être même fécondes, mais nécessairement relatives, dont ils font leur affaire... On reste pantois devant la simplicité et la crédulité de nos professeurs. Nous ne sommes plus sur le terrain de la réalité, mais en pleine mystique : ces Messieurs sont des croyants, l’élément essentiel du raisonnement scientifique, qui est le doute, leur fait défaut....Les théories de nos savants ne sont plus des hypothèses, mais des dogmes, que l’on impose aux Facultés, aux ministères, aux étudiants et aux praticiens, qui doivent s’y soumettre sous peine d’excommunication majeure. (1) Les vérités d’Etat deviennent par surcroît lois d’Etat, et le bras séculier les sanctionne. Le peuple ignorant accepte et suit : on lui cache ce qui pourrait aller contre les thèses officielles... Ce qu’il y a de plus grave, et ce que nous enseigne l’affaire de mon fils, c’est que l’on ne peut avoir aucune confiance dans les raisonnements de nos maîtres, dans les déclarations de nos autorités médicales et dans les statistiques dont celles-ci s’enorgueillissent...Malhonnêteté ? Dans les cas plus rares. Aveuglement ? Peut-être, et certainement mystique ! Je suis persuadé que beaucoup de nos tyrans sont entièrement sincères. Ils ne voient plus, ils ne pensent plus que dans les termes des doctrines obligatoires. Je ne peux même pas leur en vouloir. Ils sont, eux aussi, des victimes. Ce que pourtant je n’accepte pas, c’est que l’on impose aux citoyens d’une démocratie, des opérations médicales discutables(2) ; c’est qu’on force les consciences, qu’on contraigne les corps, et qu’on se moque de l’angoisse des mères. Quand on raconte à un anglais, à un Américain, voire à un allemand, la façon dont on chasse de nos écoles des enfants auxquels leurs parents ont refusé d’administrer un vaccin qu’on rejette chez eux, on a honte d’être français ? Où reste l’intégrité de la personne ? Où reste le respect de l’individu, la dignité de l’esprit, la science, en face de doctrines obligatoires et infaillibles assorties de sanctions pénales ? Tout cela sent étrangement le totalitarisme. (3) Il est nécessaire que les Français se rendent enfin compte qu’ils sont victimes de la part de leurs autorités médicales, d’une dictature d’autant plus odieuse qu’elle est, non seulement occulte mais, ce qui est pire, inconsciente. Il est temps qu’une médecine vraiment scientifique et humaine, une médecine libre, que ne lie aucune crainte, n’arrête aucun tabou, détrône la médecine dogmatique et officielle de nos pontifes et de nos ministères. » Me. F.HOFFET

Conscient que « les hommes s’aveuglent sur les conséquences de leur compulsion à empoisonner le vivant sous prétexte de le protéger », Maître Frédéric Hoffet, à la suite de la perte de son enfant, s’est engagé dans la lutte contre ce qu’il appelle « une tyrannie dont le public ignore jusqu’à l’existence et qui cependant est plus cruelle que toutes celles que l’on se plaît à fustiger chaque jour ».

(1) « Que vaut en effet une science livrée au dogmatisme d’un clan et qui ne considère plus le doute comme un moteur de progrès ? » Lucienne FOUCRAS

(2a) « Les accidents causés par les vaccinations ont été volontairement laissés dans l’ombre et, quand certains ont été révélés, l’importance en a été minimisée. Aucune enquête épidémiologique d’envergure n’a jamais été réalisée pour en connaître la fréquence. Par voie de conséquence, le rapport bénéfices/risques, sur lequel s’appuient de nombreux auteurs pour dire qu’il faut continuer à vacciner malgré les accidents qu’ils décrivent, n’a jamais été établi, pas plus d’ailleurs que le rapport coût/bénéfice. » Pr Michel Georget (2b) Au cours du Colloque organisé le 5 avril 2002 au PARLEMENT EUROPEEN « Les vaccinations en question » , le Pr. Bonnie DUNBAR (USA), Professeur de biologie moléculaire et cellulaire au Baylor College de Houston et expert en matière de vaccinations devait déclarer : « ... Bien que des milliards de dollars aient été dépensés pour développer ces vaccins, on notera que virtuellement aucun budget n’a été débloqué pour étudier les manifestations postvaccinales indésirables : il y a donc de quoi s’inquiéter... En synthèse, il apparaît que nous ne disposons pas de données scientifiques et cliniques suffisantes pour évaluer la sécurité ou l’efficacité des vaccins. Tant que des études moléculaires rigoureuses et des recherches épidémiologiques ne seront pas menées à bien, il sera impossible d’évaluer les risques et les bénéfices de la plupart des vaccins. »

(3) « A moins d’insérer le principe de liberté médicale dans la Constitution, viendra un temps où la médicine finira par s’organiser en dictature secrète... restreindre l’art de guérir à une seule classe d’individus et refuser les mêmes privilèges à d’autres constituera la Bastille de la science médicale. Pareilles lois sont anti-américaines et despotiques ; elles n’ont aucune place dans la république... La Constitution de cette république doit accorder les mêmes privilèges pour la liberté médicale que pour la liberté religieuse. » Dr Benjamin RUSH, signataire de la Déclaration d’Indépendance, U.S.A.

“Those who lack all idea that it is possible to be wrong can learn nothing except know-how.” Gregory Bateson


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