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Commentaire de morice

sur La Belgique n'en sort pas de ses turpitudes


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morice morice 20 février 2008 22:30

Merci ddacoudre : mon texte visait essentiellement une chose : la presse, si rapide à monter en flèche pour l’affaire Melissa et Julie et si molle à proposer quoi que ce soit sur cette histoire qui secoue à nouveau la Belgique. La tête de l’avocat ne doit pas être vendable, je crois. Deux choses encore sur cette affaire  : je n’exclue par pour autant une possibilité de destabilisation de cet avocat. Sa défense molle et les requisitions du parquet ne penchent pas en sa faveur... mais c’est la deuxième histoire que je trouve plus... pernicieuse. C’est pourquoi je l’ai ajoutée d’ailleurs. Et enfin cette annonce de télévision voyeuriste, qui m’a rappelé que pendant les obsèques de ces pauvres petites victimes, il y a avait du voyeurisme également, celui qui visait la douleur des parents, qui restent admirables depuis cette terrible affaire... j’ai été choqué par ce voyeurisme morbide, la retransmission en direct à la télé, etc... autre cas qui m’avait surpris  : le choix par l’archevêché belge d’un prêtre accusé de pédophile pour diriger la chorale du mariage princier de Philippe et Mathilde. Or, à cette époque, il était déjà repéré par la police. Qu’entretient le pouvoir avec ces gens ?? C’est tout le mystère actuel de la Belgique, qui comme le dit si joliment et si agréablement Mango un beau pays dans lequel j’adore me rendre, à Bruxelles notamment, qui possède des bouquinistes extraodinaires ou cette autre village extraordinaire de Redu, dont je vous parlerai un jour, promis... Voila ce que j’ai voulu dire. Mais certains ici s’amusent à dénigrer car ils n’aiment pas qu’on découvre ce qu’ils sont : essentiellement des lâches, cachés derrière leur clavier, à guetter le moindre texte pour chercher à le descendre. Pour l’instant, on n’a pas encore vu de critiques au point par point. Souvent, ils s’arrêtent au titre, et invectivent tout de suite. Ils n’aiment pas certains articles, qui dépeignent des gens qui leur ressemblent : ils se sentent alors cernés, et n’apprécient pas du tout cet effet miroir que je leur présente : ils injurient, car s’is devaient remettre en cause, ce serait avant tout eux-mêmes !!!


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