@ Paul Villach,
Pour paraphraser un récit de Marie Rouanet, j’ai envie d’écrire : "Que va-t-on faire du petit Paul ? - On va, dit le professeur, tyran sanguinaire qui croque trois ou quatre marmots au déjeuner, on va...lui tirer les oreilles, un peu ( et non "un peut") "
Plaisanterie à part, je trouve que vous avez bien fait de mettre en parallèle ces deux affaires : cela démontre que, selon le cas, l’administration, fidèle à elle-même, peut ouvrir divers parapluies. D’ailleurs, si accablantes que soient les tâches administratives accomplies dans le bureau des grands chefs, on y traite nettement moins les gens de connards et de salope que dans une salle de classe, au guichet de la poste ou à l’accueil des urgences. L’humeur y est donc plus sereine, et on y est moins incité à se lâcher dans un "déchaînement de violence". Que l’employé Lambda se débrouille comme il peut pour gérer l’ingérable et assumer à lui tout seul la mauvaise humeur des usagers.
C’est ce que d’aucuns appellent "le bouquet missère".
Naturellement, ce genre de chose ne se produit pas uniquement dans le public, on trouverait des cas semblables dans l’entreprise privée.