Bof, votre commentaire ne suscite pas d’éloge, il n’apporte rien et vos conceptions sont celles qui font s’écrouler la réalité actuelle. Cet article n’est certainement pas une thèse sur la condition humaine ( l’auteur est un artiste) mais il est apporté dans le soucis des autres, il me semble. Le travail n’est pas une valeur centrale, la socialité oui. Vous voyez des "feignasses" partout, moi je vois des irresponsables drogués au travail et à la finance qui ne savent pas réfléchir en dehors de ce carcan érigé en morale et en comportement responsable et pire il signifierait même la dignité humaine...
le RME ( revenu minimum d’existence ) n’est certainement pas la panacée mais ce serait déjà plus honnète en permettant à beaucoup de se lever le matin pour "s’activer" de participer à la société, même si c’est dans un contexte productif et je me permet de penser que pour beaucoup ce serait plus motivant que d’aller bosser pour , in fine, financer l’injustice sociale et la débacle économique qui pésera en définitive sur les travailleurs qui seront essorés une nouvelle fois pour redresser le pays. Si c’est ça votre vision de la vie, je vous la laisse, bien que je la subisse aussi.
Le travail que vous pronez comme un bienfait est en réalité une peine et en aucun cas n’a d’intérèt à continuer, il y a tant de chose en société qui sont laissées gravement de coté, notamment sur le plan humain, qui ne se traite pas en terme de rentabilité, enfin pas financière.

Arrétez de travailler, ouvrez les yeux, sortez de votre tunnel, intéressez vous aux autres, créez une assoc, vous verrez il y a une source de vie et d’action extraordinaire qui n’a que faire du "salariat" et qui vous paye en retour sur la base d’une valeur inestimable, le goût de la vie gratuite et des autres.

Il faudrait developper longuement pour démontrer l’inanité du travail, nombre d’auteurs ont écris des essais qui traitent ce problème, car c’est un problème, une gangrène de la vie qui ne profite qu’a ceux qui sont sans vergogne.

Votre rapport au travail date des trentes glorieuses et on voit le résultat aujourd’hui sur les retraités depuis cette époque. Solitude voire isolement, corps malade, esprit en dérive, inadaptation totale aux évolutions et pour certain égoisme maladif. Car le travail aliénant non content de réduire l’existence à un esclavage consenti rend la veillesse triste et douloureuse pour bon nombre de retraité relégués du jour au lendemain au musée des actifs.

Non, vraiment quand on fait le bilan global des méfaits du couple travail/argent il est indéfendable.