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Commentaire de sara

sur Quiproquo sur Dieu


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sara 24 juillet 2009 23:46

Bon ils croient en un dieu génocidaire vous savez tuez car l’humanité ne vous plait pas c’est une preuve de folie et on passe devant un tribunal pénal pour crime contre l’humanité dans ce cas mais en meme temps ça ne m’etonne pas trop que ça n’a jamais posé un probleme à l’homme de croire en ça comme pour lui il semble normal qu’un dieu envoie son fils se faire torturer ça reste dans la logique du je fais un deluge pour me debarasser d’une chose, oups les solutions enfin remarquer sur terre on fait pareil nos solutions sont des problemes tres tres souvent

Dans les langues sémitiques, le terme « prier » dérive de la racine abad qui signifie « être esclave ». Hanna (1. Samuel, 1, 11) demande à Yahvé, au départ dieu de la tribu des Hébreux, de lui offrir un fils, à elle, son esclave ; David se définit lui-même (2. Samuel, 7, 18) comme un serviteur de son Dieu, tout comme Salomon (2. Rois, 3, 6). C’est la crainte, la terreur, qui constitue l’essence de Yahvé (cf. 2. Moïse, 23, 27 ; Isaïe, 8, 13).

Les Indo-européens n’ont jamais perçu leurs dieux de cette manière. Les Hymnes à Zeus de stoïcien Cléanthe d’Assos (331-233), dont Paul de Tarse s’est inspiré afin de s’adapter au mental hellénique, contredit radicalement la religiosité exprimée notamment dans le Psaume 90.

Dans le christianisme également, l’attitude du croyant devant Dieu se désigne très souvent par l’adjectif humilis, montrant par là que l’humilité, le sentiment de servilité constitue le noyau ultime de cette religiosité.

Une telle attitude n’est en rien Européenne ; elle dérive d’une religiosité orientale.

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