Bon ils croient en un dieu génocidaire vous savez tuez car l’humanité ne vous plait pas c’est une preuve de folie et on passe devant un tribunal pénal pour crime contre l’humanité dans ce cas mais en meme temps ça ne m’etonne pas trop que ça n’a jamais posé un probleme à l’homme de croire en ça comme pour lui il semble normal qu’un dieu envoie son fils se faire torturer ça reste dans la logique du je fais un deluge pour me debarasser d’une chose, oups les solutions enfin remarquer sur terre on fait pareil nos solutions sont des problemes tres tres souvent
Dans les langues
sémitiques, le terme « prier » dérive de
la racine abad qui signifie « être
esclave ». Hanna (1.
Samuel, 1, 11)
demande à Yahvé, au départ dieu de la
tribu des Hébreux, de lui offrir un fils, à elle,
son esclave ; David se définit lui-même
(2. Samuel, 7,
18) comme un
serviteur de son Dieu, tout comme Salomon (2.
Rois, 3, 6). C’est
la crainte, la terreur, qui constitue l’essence de Yahvé
(cf. 2. Moïse,
23, 27 ; Isaïe, 8, 13).
Les
Indo-européens n’ont jamais perçu leurs dieux de
cette manière. Les Hymnes à Zeus de stoïcien
Cléanthe d’Assos (331-233),
dont Paul de Tarse s’est inspiré afin de s’adapter au
mental hellénique, contredit radicalement la
religiosité exprimée notamment dans le Psaume 90.
Dans le christianisme
également, l’attitude du croyant devant Dieu se
désigne très souvent par l’adjectif
humilis, montrant par là que l’humilité,
le sentiment de servilité constitue le noyau ultime de
cette religiosité.
Une telle attitude
n’est en rien Européenne ; elle dérive d’une
religiosité orientale.