Vrai... mais incomplet.
L’erreur, aujourd’hui, est de considérer des éléments disparates de la crise mondiale du système monétariste.
La difficulté nécessaire est de penser en termes d’un paradigme radicalement différent : le système de crédit productif public.
En 1933, le problème était national (USA). Roosevelt appliqua la solution radicale du Glass-Steagall (toute dette adossée à toute activité spéculative est reconnue comme nulle et non avenue), à l’échelle nationale.
En 2011, le problème est mondial. Il faut donc non seulement barrer d’un trait et reconnaître comme nulle et non avenue toute dette adossée à toute activité spéculative (Glass-Steagall Global) mais aussitôt Wall Street définitivement fermé, il faut une solution concrète pour l’ère post-financiarisation. C’est le projet défendu au niveau mondial par Lyndon LaRouche aux Etats-Unis et Jacques Cheminade en France : 5 projets de reconstruction continentaux : NAWAPA, Transaqua, Detroit de Bering, Pont terrestre eurasiatique et « bouchon » de Darien.
Vous dites : « Putain de loi Pompidou-Giscard de merde !!! »
C’est certes vrai, mais s’arrêter 1) à la contestation de 2) un aspect particulier et national d’un problème paradigmatique mondial, c’est faire le jeu des extrêmes.
Quitte à engager son énergie, autant que ce soit avec ceux qui savent penser de manière constructive « hors système ». Faisons en sorte qu’ils ne soient rapidement plus les seuls ! De toutes façons, il n’y a plus le choix :)