Si l’on ramène cette campagne pitoyable et infâme à
l’aune de la globalisation, c’est un peu comme si l’on
élisait le maire d’une commune dans une province hexagonale.
C’est
comme si l’on s’imaginait que le dit maire allait régler tous
les problèmes de la commune et rendre tout ce petit monde
heureux.
Mélenchon, c’est un peu comme cela. Il a fait le plein
de jolies promesses déconnectées de la réalité de notre XXI°
siècle et nous fait encore accroire qu’une fois le pouvoir pris,
il agira comme si la globalisation n’était pas une réalité.
Et
des gens croient et suivent, eux aussi totalement déconnectés de la
réalité globalitaire.
L’oligarchie se marre à gorges
déployées.
Mais comment peuvent ils encore marcher dans nos
combines se disent-ils ? Avec tout ce nous leur avons déjà
fait subir !
Et puis l’oligarchie totale se dit de
nouveau.
Tiens, et puis, nous allons encore leur faire un petit
cadeau à ce bon peuple (planétaire, puisque tout est compris et
conçu aujourd’hui par l’oligarchie totale au niveau
planétaire).
Et quel est ce petit cadeau dont aucune chancellerie
ni aucun média n’a daigné informer le bon peuple ?
Washington rend obligatoire l’implantation d’une puce RFID pour tous les américains
Mais nous allons être sauvés, car Mélenchon,
Hollande, Bayrou et les autres présidentiables, enfin l’oligarchie
locale, va taper son petit poing sur la table et dire : non,
nous n’en voulons pas.
Et l’oligarchie totale dira : bon
d’accord, ça peut attendre, mais ça va vous coûter tant , par
jour de refus. L’industrie du puçage
nano-technologico-pharmaceutico-sécuritaire aura un énorme manque à
gagner, donc vous allez payer.
Et que vont faire les élus du
peuple ? Prendre la tête d’un soulèvement ?
Pensez-vous ! Ils iront payer dans un premier temps et puis
ensuite donner les corps du bétail humain à l’implantation à
grande échelle de la fameuse puce qui alimentera l’hyper contrôle
de la masse des gens qui peuplent cette planète.
Que faisons
pendant ce temps ?
Nous nous demandons encore pour qui nous
allons voter.
C’est ballot ! Non ?
Bon, hé bien,
vas-y, vas voter, brave gens !!!