Heureusement, que le Front de gauche à appelé à voter Hollande au deuxième tour, sans conditions ce qui veut dire aussi sans compromission avec le PS.

Ne pas oublier quand même, que ce qui fait la politique du gouvernement actuel, c’est surtout le vote pour les députés, et oui 2 millions de voix qui s’étaient porté sur le Front de gauche au 1er tour des présenditielles ne se sont pas retrouvé, au 1er tour des législatives. Sans cette perte, le FDG, aurait pu avoir un groupe charnière, qui sans appartenir à la majorité gouvernementale, aurait pu peser positivement sur les sociaux libéraux.

Dans ces premiers cent jours, même si quelques outrances du gouvernement de la droit dure sont rectifiées, bouclier fiscal, heures supplémentaires, il n’ya pas inversion de l’orientation politique précédente. qui nécessiterait : un rééquilibrage des revenus au profit des salariés, un développement des services publics, la mise en place d’un pôle financier public, une remise en cause des licenciements boursier.

Au lieu de cela le PS à une majorité à lui tout seul et décide seul de l’avenir, pouvant comme dans le cas du TSCG, reçevoir le renfort des élus de droite UMP comme Modem.

Dans ces conditions, les causes profondes de la crise perdurent, la stagnation, puis la recession devraient continuer à creuser les déficits que le PS veut soi-disant résorber.

Heureusement, qu’une gauche doté de propositions originales est restée autonome, libre de critiquer l’insuffisance des mesures prises, voir la nocivité de certaines autres.

Sinon l’extrème droite aurait effectivement de beaux jours devant elle.

Ce positionnement déplait effectivement ; autant aux supporters du petit teigneux, qu’à ceux de la semi-démente, tant mieux.

Pas sûr que cela gêne longtemps les électeurs PS, qui ont voté pour « le changement maintenant » et dont je doute qu’il aient souhaité qu’il se borne à une différence de style, entre normal et excité.