@ Bonjour Marc CHINAL :
Décidemment, c’est fou
comme cette expression de pervers narcissique suscite l’antipathie de certaines
personnes. Ces simples mots ont un effet véritablement allergisant sur l’intellect de quelques-uns.
Répondant à ma critique formulée au sujet de la vidéo sur la mécanique du rire que
vous avez postée vous dîtes : « Encore
une preuve d’hypocrisie de votre part. Vous n’avez que mépris pour ceux qui ne sont
pas d’accord avec vous et les traitez de pervers. »
Alors, si l’on vous
suit dans votre analyse cela donnerait :
1) je suis hypocrite parce que j’ai,
à vos yeux, l’outrecuidance de ne pas être totalement d’accord avec votre vidéo ;
2) critiquer en argumentant reviendrait à méprisez ceux qui ne sont pas d’accord
avec nous, dans ce cas je devrais être le premier à me sentir méprisé par vous puisque c’est vous qui êtes en désaccord avec moi ;
3) je vous traiterais de
pervers parce que vous vous opposez à moi et sur ce dernier point vos commentaires sont
des plus risibles (j’ai « mal » – peur – pour vous = empathie) :
d’une part, je vous mets au défi de trouver dans un seul de mes propos une accusation
de pervers à votre encontre, et d’autre part, c’est bel et bien vous qui, en
deux messages (le premier du 12/10 à 15:40 et le second du 13/10 à 15:11),
écrivez que je suis hypocrite, pervers narcissique, pervers pépère, manipulateur,
etc.
Que déduire de tout cela si ce n’est que vous êtes ‘expert’ en inversion des rôles ?
Je vous rappelle mes propos du dernier message auquel vous répondez ci-dessus,
à savoir que c’est bien vous qui avez commencé ce petit jeu de dénigrement, ce
que finalement vous ne démentez pas confirmant bien par là le fait que vous
éludez votre propre responsabilité dans vos attaques ad hominen.
Pour couronner le tout, sur le point où vous situez le fond
de l’article (preuve en est une fois de plus que soit vous ne l’avez pas lu,
soit vous ne l’avez pas compris), je me permets de vous rappelez qu’ici encore c’est
bien vous qui avez commencé par éluder la question qui vous était posée, à
savoir : d’où tenez-vous pour fait que FREUD ai pu dire : « si on n’accepte pas les théories freudiennes,
c’est qu’on est en phase de déni... » (première intervention de Marc
CHINAL sous ce topic le 10/10 à 1:18).
Pour vous justifier, vous nous invitez
(JL et moi) à lire un texte de FREUD lui-même qui selon vous apporte la preuve
de sa bêtise. Or, que dit ce texte (il
aurait été préférable que vous puissiez de vous-même indiquer les sources ou
les liens sur lesquels vous fondez vos critiques) ?
D’une part, il ne fait
aucune référence au déni, qui soit dit en passant est bel et bien une notion psychanalytique,
et d’autre part, FREUD lui-même précise ceci : « la psychanalyse est
à mi-chemin entre la médecine et la philosophie. » Et nulle part ailleurs dans
mes propos vous ne trouverez autre chose que cette affirmation énoncée par
FREUD en personne.
Mais pour revenir à la rumeur selon laquelle : « si on n’accepte pas les théories freudiennes,
c’est qu’on est en phase de déni... », dont vous vous faîtes l’heureux
comptable, ce texte que vous nous demandez de lire ne parle pas de déni
vis-à-vis des théories freudiennes (le mot déni n’y figure pas une seule fois dans ce texte), il parle de la résistance idéologique qui
se manifeste lors de tous changements de modèle = de représentation = de
réification.
Cette analyse de FREUD sur la résistance idéologique ne concerne donc
pas que la psychanalyse. D’où un nouvel élément qui tend à me faire croire que :
soit vous ne lisez pas les textes que vous commentez, soit vous ne les
comprenez pas.
Mais je vous en prie mon cher Marc CHINAL, que cette petite mise
au point ne vous prive pas du plaisir de m’instruire, vos commentaires m’amusent
beaucoup.
Et un dernier rappel pour conclure : niez-vous que la psychologie
est héritière de la philosophie ?
Si oui, toute votre éducation est à
refaire ; sinon, il est totalement absurde d’opposer l’une à l’autre
puisqu’elles se complètent.
De même que tout un courant de la psychologie (la
psychologie sociale) plaide depuis longtemps pour le développement d’une
psychologie du bien et du mal et regrette que cette discipline ait renoncé à
étudier ces phénomènes, ce qui est en train d’être corrigé par des études et
des auteurs de plus en plus nombreux. Vous voulez des références ???