Mais non, le milliard de personnes supplémentaires ne créeront pas une pression supplémentaires sur le reste de la population mondiale car au final tout vient de la monnaie.
Prenons part exemple les révolutions arabes qui ont subit des contraintes climat/énergie :
Ces contraintes ont de multiples facteurs, la Russie a connu une période
de canicule ce qui a réduit sa production de céréales, tandis que l’Australie a
connu une période de sécheresse et le surplus de production des USA en maïs est
destiné au biocarburant (10% de la production mondiale de céréales va désormais
au biocarburant). Cela a provoqué un doublement des prix des céréales sur les
marchés mondiaux qui a touché des pays comme la Tunisie qui importe la
moitié des céréales qu’elle consomme et l’Egypte qui en importe le quart. Ces
pays compte tenu des conséquences de la
crise de 2008 n’avaient pas les moyens budgétaires d’y faire face. Source http://lois-economiques.fr/main_page.php?page=extrait.html Vous saisissez ? « pas les moyens d’y faire face », donc cette population a tout simplement réduit sa consommation à la limite de la famine. Et quant la crise sera plus grande cette population mourra de faim...
Au final aucune contrainte sur nos pays riches....
Seuls les pays riches imposent des contraintes aux autres, pas les pays pauvres...
Donc encore une fois, tout vient de la monnaie.
Et dire que les 1 000 milliards de dollars US injectés par dans l’économie n’a pas d’impact sur les ressources c’est une hérésie, car ces $ permettent aux usines chinoises de continuer à tourner faute de quoi elle arrêteraient d’alimenter la consommation délirantes des USA...
Et les riches que vous citez consomment énormément : Yachts, voyages, Villas, voitures etc...et même bientôt ils vont faire de l’astrotourisme via Virgin Galactic qui propose d’or et déjà de réserver
des places pour un voyage touristique dans l’espace moyennant la modique somme
de 200 000 $
Ce qu’avait bien comprit Mohandas Gandhi : « Il y a assez de
ressources sur cette terre pour satisfaire les besoins de tous, mais il n’y en
aura jamais assez pour satisfaire les désirs de possession de quelques-uns. »