• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Hétérodoxe

sur 320 pages plus tard, la cote présidentielle remonte… au Figaro, chez Bernard Henry Lévy et chez les « bobos »


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Hétérodoxe 8 septembre 2014 12:38

C’est quoi ce féminisme de bas étage ??

« La fonction présidentrielle autorise-t-elle l’humiliation publique, dès lors qu’il s’agit d’une femme ? »
Quand Sarko a prononcé sa célèbre maxime : « Casse-toi pauvre con ». Qui s’est soucié du sexe de son interlocuteur ? Il serait donc tolérable d’insulter, dés lors qu’il s’agit d’un homme ?

Parler d’humiliation quant à Trierwieller, c’est d’un comique. Elle a voulu monétiser son cul, comme le font de nombreuses femmes et a profité de la bonne soupe du pouvoir sans avoir eu à se présenter devant les électeurs, elle a juste sucé la bonne queue. Tant mieux pour elle. Mais elle en connait le prix, désormais. Le pouvoir public n’est pas partagé par les hommes, ils se battent entre eux pour l’obtenir. Et c’est parfois violent. Elle vient de recevoir la plus belle leçon d’égalité sexuelle : elle a gouté à la technique masculine de gestion des conflits. Les femmes font ça de manière plus sournoise du seul fait de leur faiblesse physique. Quand le physique ne joue plus (genre même catégorie de poids, à la boxe, par exemple) les femmes ne sont plus les gentilles oiselles qu’on veut bien nous vendre. J’aurais même tendance à les trouver plus « méchantes ».

Quant au pouvoir de l’argent, tsss ... Les mecs veulent du pognon pour pouvoir avoir des femmes. Parce que les femmes aiment le pognon, parce qu’elles aiment ça. Point.
Je n’ai jamais demandé à une amante combien elle gagnait. Elles me l’on SYSTEMATIQUEMENT demandé. Et quand les espérances ne sont pas satisfaites, la réponse est toute autant systématique : « Moi, tu sais, je veux un mec qui a de l’ambition », et pas l’ambition de sauver le monde, de gravir l’Everest ou de trouver la solution des équations de Shrodinger, l’ambition d’avoir du pognon.
Quand j’enseignais, les filles étaient clairement plus vénales que les garçons. Ils pensaient sans cesse à elles quand elles pensaient à elles aussi.

Bref, les filles et les garçons, c’est différent. Et chaque situation a ses avantages et ses inconvénients.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès