A mon humble avis, il faut déjà briser les chaînes de la division.
Là où deux se disputent, un troisième se frotte les mains.
Il y a la masse des salariés et le petit pourcentage représenté par les dirigeants de la City de Londres (les Rothschild et consorts), qui détiennent le contrôle de l’ argent et donc le pouvoir sur les nations.
L’ Histoire a parfaitement démontré que quel que soit le choix politique opéré par la masse salariale, rien ne pouvait changer tant que les intérêts privés dictent leur volonté hégémonique.
Je vous invite à lire cette excellente analyse dans le lien suivant.
http://www.fileane.com/versreseauxpartie5/chers_ennemis/global_chersennemis _guerres.htm
Extrait.
"
Les
Rothschild ont financé les deux camps de la guerre civile américaine de 1861
à 1865. De Décembre 1860 à mai 1861, onze
États dont le système économique reposait sur l’esclavage (les États du Sud) démissionnèrent
de l’Union et constituèrent les « États confédérés ». Cela provoqua
la guerre de Sécession, en avril 1861, contre les autres États de l’Union situés
au Nord des États-Unis. Ce sont presque exclusivement
des AGENTS DE ROTHSCHILD qui ont créé et fomenté la guerre civile. L’un de
ces provocateurs fut GEORGES BICKLEY qui avait fondé les "CHEVALIERS DU
CERCLE D’OR".
Par
l’intermédiaire de Bickley et ses chevaliers, la maison Rothschild insista sur
les inconvénients que représentait l’Union pour les États confédérés. Dans
les autres États de l’Union, par contre, les ROTHSCHILD, en se servant de
« J.P. Morgan » et d’« August Belmont », mirent l’accent sur les
avantages de l’Union. La banque de ROTHSCHILD de
Londres finança le Nord, celle de Paris le Sud. Quelle affaire colossale pour
les Rothschild ! On ne peut être que le vainqueur quand on finance les deux
camps et qu’on leur fournit les armes. Quels étaient les vaincus ?
Les américains, ceux des États du Nord et ceux des États du Sud.
La
famille Lehman fit une fortune en passant des armes au Sud et du coton au
Nord. En 1861, les États-Unis étaient de nouveau endettés de 100 millions
de dollars. Le nouveau président Abraham Lincoln se
joua lui aussi des banquiers européens en faisant imprimer les fameux
“Lincoln Greenbacks” pour payer les factures de l’armée du Nord. Le président LINCOLN qui avait percé le jeu refusa,
en 1862 et 1863, de leur payer les intérêts qui s’élevaient à des sommes
colossales. Il chargea, peu après, peu après, le Congrès de faire imprimer
les dollars « Green Back » pour payer les troupes de l’Union.
document
:
En
1862, par le vote du Legal Tender Act, Abraham Lincoln reviendra à l’art.1 de
la Constitution et créera le dollar « Green Back ». C’est ainsi
qu’il pu, sans augmenter la dette de l’état, payer les troupes de
l’Union.
Deux
citations : « Le pouvoir des financiers tyrannise la nation en temps
de paix et conspire contre elle dans les temps d’adversité » et
« le pouvoir de l’argent essaiera de prolonger son règne jusqu’à ce
que toute la richesse soit concentrée entre quelques mains »
Otto
Von Bismark, Chancelier de Prusse, suite à l’assassinat de Lincoln :
« Je
crains que les banquiers étrangers ne dominent entièrement l’abondante
richesse de l’Amérique […]ils n’hésiteront pas à précipiter les États
chrétiens dans les guerres et le chaos, afin de devenir les héritiers de la
terre entière »
Le
14 avril 1865, après son assassinat, son successeur Andrew Johnson suspend immédiatement
l’impression des dollars Green Back, et revient au système précédent.
Enfin
dernier président à avoir essayé, tardivement de changer ce système, John
Fitzgerald Kennedy. Le 4 Juin 1963, il signe l’Executive Order #11110 qui
reprend l’art1 de la Constitution et se passe des services de la FED (nouveau
nom de l’établissement en 1913 qui chapeaute la douzaine de banques privées)
Gagée sur les réserves d’or et d’argent du Trésor, il fit imprimer 4,3
milliards de billets de 1,2,5,10,20 et 100 dollars.
Le
26 novembre 1963, après l’assassinat de Kennedy, Lyndon B Johnson, nouveau président,
suspend immédiatement l’ordre exécutif # 11110. Les dollars "Green
Back" furent à nouveau retirés de la circulation et rachetés à un
prix ridiculeusement bas par les banquiers centraux Morgan, Belmont et Rothschild.
Plus
aucun président n’apportera la moindre réforme au fonctionnement de la FED.
fin
du document : source : http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2011/04/07/2459192_les-dollars-green-back-ou-la-derniere-fois-ou-les-usa-furent-libre-financierement.html