« Ouragan, le loup est un magnifique, vous entendez, magnifique, animal »
Un cri de détresse entendu par celui qui reste seul face a ses animaux massacrés, pire, qui est devenu le paria de la société qu’il a choisit d’éviter en retournant à la terre pour en rester plus proche et le moins nuisible possible.
En
conclusion de cette affaire, aux souffrances atroces qui peuvent et
doivent être épargnées aux hommes comme aux
animaux, nous pouvons dire que n’importe qui peut se réjouir à
l’idée que le mythique loup vive libre, à coté
de nous ....Que
le loup vive ! oui, au milieu de ses proies sauvages à
chasser, en agissant pleinement selon sa nature. Mais bien loin des
humbles brebis, parce que, quand il est à son tour dévoré
par les affres de la faim, il est obligé de se transformer de
merveilleux chasseur en misérable cambrioleur assassin qui
pénètre dans les espaces où sont enfermées
ses victimes, et - célébrant son rite de tuerie - il en
vi-vi-sec-tion-ne des dizaines, dans le sens qu’il les dévore
encore vivantes, sous les yeux des compagnes terrifiées qui ne
peuvent s’enfuir.
Et
il n’y a pas de réparations pour le dommage, la douleur et le
stress des humains et des animaux, et pas non plus de dissuadeurs
(rapidement ridiculisés par l’intelligence des prédateurs),
de chiens de troupeau (dévorés) ou d’enclos avec
des treillis soudés (franchis en creusant sous les
bordures de béton enterrées) qui tiennent. L’impossible
projet, sur ces terres, n’aurait même pas dû être
une hypothèse, si sa faisabilité avait été
évaluée avec
une approche réaliste et une responsabilité de
compétentes. Lucia Morelli,psychosociologue
"« l’idée
qu’un animal comme le loup puisse vivre librement dans les zones
hyper urbanisées et cultivées de l’Europe
centro-méridionale sans créer de problèmes pour
la vie humaine, tant par les prédations sur le bétail
et autres animaux domestiques que par le risque d’agression sur
l’homme (...) ». est inadmissible pour
n’importe quel être humain censé, d’autant plus qu’il ne
sera jamais concerné par la prédation.
Ceux qui en sont les promoteurs ont des préoccupations autre
que la biodiversité (il faut de fortes restrictions aux élevages a l’herbe) et utilisent des pions qui auront des
comptes à rendre aux génération futures. Contrairement aux minorités vivant de et avec la nature,
stigmatisées par ces évangélistes à qui
ont fait miroiter le Paradis en leur faisant croire qu’ils sont les élus qui doivent réparer les exactions de nos sociétés !