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Commentaire de Michel J. Cuny

sur Selon Charles de Gaulle, sans l'appui d'une guerre, la dictature est impossible


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Michel J. Cuny Michel J. Cuny 13 août 2015 08:45

@nours77
Merci pour les précisions que vous apportez à propos de monsieur Philippe Devilliers : il en sera enchanté.
Pour ma part, j’utilise les travaux de monsieur Philippe Devillers (vous voyez la nuance). Le voici :

Diplômé de l’École libre des sciences politiques de Paris (1939) et de l’École supérieure d’organisation professionnelle (1942), et Licencié en droit (1943), Philippe Devillers entame sa carrière comme rédacteur au ministère de la Production industrielle entre 1942 et 1944. Affecté l’année suivante à l’État-major du Général Leclerc, en tant que commandant en chef du Corps expéditionnaire français en Extrême-Orient, il occupe en même temps la fonction de correspondant du journal « Le Monde » en Indochine. Démobilisé, il devient en 1948 chef de cabinet-adjoint du Secrétaire général du Gouvernement à Paris. Après 1952, il est chargé d’études économiques dans plusieurs sociétés industrielles puis de 1963 à 1965, au Centre national du commerce extérieur. De 1947 à 1957, il exerce le métier de journaliste spécialiste de l’Asie du Sud-Est. Responsable de la section « Asie du Sud-Est » au Centre d’étude des relations internationales de la Fondation nationale des sciences politiques entre 1960 et 1987, il poursuit sa carrière comme Professeur visiteur à l’Université Cornell, Ithaca (États-Unis) de 1965 à 1966 et à l’Université de Malaisie à Kuala Lumpur de 1974 à 1976, puis comme Professeur à l’Institut d’études politiques de Paris de 1965 à 1987, tout en poursuivant parallèlement comme Maître de recherche au Centre national de la recherche scientifique entre 1967 et 1987. 

Docteur en histoire en 1981, Philippe Devillers est l’auteur de nombreux ouvrages pour la plupart consacrés au Viet-Nam. Collaborateur à l’« Encyclopédia Universalis », il signe environ 500 articles dans diverses revues françaises et étrangères.

Il est élu membre titulaire de l’Académie des sciences d’outre-mer en 1972. 

Le reste de votre pauvre baratin, je vous le laisse !


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