Cher ami(e)s,
J’ai l’habitude de ne pas « commenter » les commentaires sur les
articles que j’écris sauf si je suis personnellement interpéllé, si cela ne porte pas atteinte au droit d’expression
et à la liberté de pensée du commentateur et encore si le démonstratif ne doit pas à
lui tout seul faire l’objet d’un autre article.
Je ne jouerai donc pas le contradicteur tout azimut. D’ailleurs
faudrait-il qu’un tel le temps me soit donné.
@Garibaldi,
D’après ce que je sais , on appelle bien « son Excellence, l’ambassadeur »
(madame ou monsieur ) le représentant diplomatique de premier rang d’un pays auprès
d’un autre.
« Son Excellence » est un prédicat honorifique qui
est davantage utilisé quand on s’adresse à un ambassadeur (hors de son pays) ou
quand on n’est pas ressortissant du pays qu’il représente. Ce qui est mon cas
en tant qu’auteur de cet article. Et en tant que juriste je ne pourrai que
vous épargner la fastidieuse démonstration des références des conventions
diplomatiques et consulaires à ce propos.
Toutefois, si c’est le « son excellence » deTalleyrand
qui vous importune, vous pourrez toujours
vous consoler de la description exprimée
à son égard et attribuée à Napoléon et qui, tout à votre décharge, montre bien
que les prédicats honorifiques, n’ont de sens que celui qu’on leur donne.
(Description que vous retrouverez, entre autres liens, ici)
Amicalement