@alinea
« Mais l’effet excellent pour nos gouvernements est bien que nos peuples européens à l’agonie ne se retournent pas contre les responsables mais contre nos victimes lointaines... »
A qui n’a plus rien, la Patrie est son seul bien, a dit Jaurès, il est donc assez normal qui ceux qui n’ont rien, ou pas grand-chose, se retournent contre ceux qui, nolens volens, viennent les spolier de leur dernier bien*.
Et cette révolte se retournent aussi contre les plans de l’oligarchie qui est responsable du chaos, mais qui dans le même temps disent :
- Il faut détruire l’unité interne des nations européennes
pour en finir avec la notion de frontières en Europe. C’est-à-dire ouvrir
totalement l’Europe à la mondialisation et peut-être à un nouveau modèle que
nos amis américains sont en train de concevoir..." Peter Sutherland, ex-commissaire européen et, depuis 1995, président de l’European Policy Centre, de Goldman Sachs International, entre cent autres titres et fonctions**.
Ce qui fait que s’arc-bouter contre l’invasion des clandestins, c’est aussi tenter de contrecarrer les desseins de l’Empire.
* On n’est plus chez nous comme avant, disent 63.5 % des sondés dans le cadre du Rapport 2014, de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (Rapport 2015, en préparation)
** Pour le pedigree - complet (?) - du bonhomme, voir l’intervention 137 de Nessie. (11.01.2014 - 19:19)