@Ouam
Bonjour et merci pour cette constatation tellement évidente que personne ne veut s’en rendre compte.
Les esclaves ne découvrent leur condition et leur état qu’en remuant le poids de leurs chaines.
Beaucoup refusent de voir, d’admettre, de reconnaître que leur vie a changé, ajoutant simplement à leur budget contraint celui de l’achat de leurs masques, refusant de voir que le masque est précisément le signe absolu de la servitude dont ils s’accommodent, préférant céder au chantage et au racket de l’amende à 139 € plutôt que de préserver les libertés publiques dont la première est celle de vivre, tout simplement.
Mais il faut garder confiance.
Ce qui ne peut perdurer finit toujours forcément par cesser.
L’appel d’air est tel que les dirigeants veules disparaîtront, chassés par des gens comme vous et moi, comme tous ceux qui ont compris l’immense supercherie, l’immense escroquerie, l’immense tromperie qui s’établit à l’échelle nationale et internationale.
La lame de fond se prépare et son effet sera terrible.
"Nous savons que le port d’un masque en dehors des établissements
de santé n’offre que peu, voire aucune protection contre les infections.
– The New England Journal of Medicine, 21 mai 2020(T)hey
nous a dit exactement ce qui allait arriver, et nous a conseillé de
nous taire et de suivre les ordres. Malheureusement, la plupart des gens
ont fait exactement cela. – CJ Hopkins, 2020
Il est difficile d’imaginer une attaque plus cruelle contre la
famille que la prévention insidieuse des contacts de personne à
personne.
Ce qui équivaut à une assignation à résidence, plus le port forcé
d’un masque, plus l’ordre de rester à distance des autres, a pour but
déclaré de prévenir la contagion, mais comme l’a dit récemment
le philosophe Giogio Agamben, « C’est une contagion politique, qu’on le
comprenne ». Il a raison. La contagion qu’il faut contrôler n’est pas
virale, mais politique. La triade des mandats officiels entrave la
communication qui ne peut être contrôlée. En ligne, un discours et une
stratégie politiques non autorisés peuvent être enregistrés pour le
dossier de l’individu. Dans la rue, ce n’est pas le cas, du moins pas
encore.
En 1933, Hitler a suspendu la Constitution de Weimar suite à
l’incendie du Reichstag. Les droits des citoyens prévus par cette
Constitution ont été abolis et n’ont jamais été rétablis.
Un drame similaire continue de se jouer aux États-Unis depuis
l’attaque du 11 septembre, qui a donné lieu au Patriot Act (au titre
ironique) qui bafoue la Constitution US, donnant ainsi libre cours aux
services de renseignement de la nation de concert avec les géants des
médias sociaux. Le tout premier amendement est nié en fonction de la
définition que quelqu’un donne du « discours de haine » ou de « normes
communautaires », des sites d’information et d’opinion étant
« dégradés ». Le quatrième amendement est un mensonge caché dans le sens
où on a planifié d’enregistrer tous les gestes des citoyens
numériquement, et malheur aux personnes qui enfreignent les règles.
Le confinement n’a jamais vraiment été lié à une pandémie. Covid19 n’en était que le prétexte. Bill Gates lui-même a admis (dans un moment sans surveillance ?) que les précédents SRAS et MERS étaient plus « mortels« ,
c’est-à-dire plus meurtriers, que le virus Covid19. Pourtant ces virus
sont arrivés et repartis sans provoquer l’effondrement de l’économie.
Mais il y a plus que l’économie, c’est la vie quotidienne telle que nous
la vivons tous qui a été une des principales visées du confinement.
Mettre fin au verrouillage demain ne suffirait pas à réparer les
dommages déjà causés. Nous avons été psychologiquement éprouvés et il
n’y a pas de solution en perspective. Des avertissements de « pics » et
de nouvelles vagues nous sont communiqués quotidiennement. Oui,
d’innombrables emplois et entreprises sont sont en train de disparaître,
mais c’est l’impact psychologique dévastateur qui se répercute sur
toute la société qui est indéniable. Les séquelles émotionnels et
psychiques ne se résorberont pas de sitôt. Comme prévu, nous sommes
désorientés et le serons pendant des décennies, alors que les
« internationalistes conspirateurs », comme les appelle David Rockefeller, nous préparent à une vie correspondant à leur dessein mondialiste.
Les masques en tissu que l’on voit partout aujourd’hui sont devenus
symboliques. Aussi utiles soient-ils pour arrêter les gouttelettes en
suspension dans l’air, ils n’empêchent pas le passage des virus, comme
le montre l’avertissement sur une boîte du type de masque que l’on voit
couramment. Au mois de mars, l’expert préféré des médias, Anthony Fauci,
a déclaré sans ambiguïté sur CBS 60 Minutes que
: « Il n’y a aucune raison de se promener avec un masque ». Deux mois
plus tard, alors que les demandes de confinement s’intensifiaient, il a changé d’avis et s’est prononcé en faveur du masque en tant que « symbole destiné à être vu par les gens ». Les articles de presse indiquant que les masques sont inefficaces, voire contre-productifs, parviennent rarement aux aux yeux du grand public, ou bien ils ont tout simplement disparu. Or, le masque est sans aucun doute un symbole – un symbole de soumission.
Vivre en toute liberté comporte un niveau de risque tout à fait
normal. En plus des divers germes et parasites qui font partie de la
nature, il y a les coups de foudre, les collisions de voitures, les
chutes dans les escaliers et la proie éventuelle des criminels –
principalement des représentants de nos gouvernements. Nous sommes
impliqués dans une campagne de terreur fabriquée par un groupe de
personnes puissant qui considère que la majorité de la société est un
troupeau à contrôler. Ceux qui comprennent cela, mais qui portent
néanmoins un masque simplement pour se conformer à ce qu’ils supposent
être le choix de la majorité, se se laissent prendre à cette arnaque.
Enlevez ce satané truc ! Respirez en toute liberté !"
Sources :
http://www.profession-gendarme.com/le-masque-comme-symbole-de-soumission/comment-page-1/
Bill Willers
Article original en anglais :
The Mask as a Symbol of Subjugation
Dissident Voice 3 juillet2020
Cordialement,
Renaud Bouchard