Votre article est clair et bien argumenté, mais il se termine avec une proposition de revenu universel qui n’a rien à voir avec le problème qui n’est pas celui du réchauffement climatique mais du gaspillages de toutes les ressources naturelles, dont les énergies. 

Des gouvernements libéraux ont déjà proposé de fondre toutes les aides en une seule, RSA, bourses d’études, allocations handicapés, indemnités de chômage, allocations solidarité personnes âgées, allocations logement, allocations familiales, le problème c’est qu’ils faisaient une moyenne qui était en dessous de certaines Allocation handicapés > 80% (1000 EU + allocation logement), allocations personnes âgées (850 euros), chômages de cadres (p.e. 4000 euros), et qu’ils en augmentaient d’autres comme le RSA (500 euros), donc ça ne tient pas la route, ce minimum doit forcément être aligné sur le plus haut minimum vital, tout en maintenant le chômage qui est une assurance et pas une allocation.

L’idée que tout Français en France a droit dès la naissance à un minimum vital que la famille ou à défaut l’État est obligé de payer tout le temps qu’il n’a pas d’activité rémunérée (écolier, étudiant, prisonnier, chomeur, handicapé, malade, retraité, mère de famille, bénévole, etc..), qu’elle pourrait être uniformisée et surtout conservée en cas d’activité rémunérée est une bonne idée, ce qui baisserait d’autant le coût de la main d’oeuvre française puisque l’employeur n’aurait à payer le salaire qu’au-delà de ce minimum (par exemple 300 eu au-delà de 900 eu pour payer le SMIC à 1200 eu). Le but n’étant pas de favoriser les exportations mais le plein emploi, la natalité, la production intérieure de richesse, le pouvoir d’achat et la rentabilité des entreprises.

Le minimum pour faire de façon crédible cette proposition est d’évaluer ce qu’elle coûterait, ce qu’elle économiserait, ce qu’elle rapporteait en PIB supplémentaire, le besoin pour l’État de recettes supplémentaires, et le moyen de les obtenir.

Accompagner cette proposition d’une suppression des cotisations sociales et de l’impôt sur le revenu vous discrédite complètement.