@Epsilone
Merci pour les messages. Une question cependant, qu’entendez-vous par « réincarnation ». Je reprends un fragment dans la conclusion :
"Mais à vrai dire, l’essentiel
de cet ouvrage, au moins à mes yeux, n’est pas la tentative d’essayer d’introduire en philosophie la question de la réincarnation. Ce n’est que la condition de possibilité de la suite ; et cette suite, c’est l’incitation à vivre noblement. La vraie révolution
silencieuse elle serait là, mais sur ce point je risque de rencontrer encore plus de résistances. Et c’est aussi, mais c’est sans doute voué à l’échec, la tentative
de faire pièce au règne de la pseudo-spiritualité qui devrait succéder
à la fin du matérialisme comme l’a probablement très bien
vu René Guénon et qu’il
a expliqué dans Le règne de
la quantité et les signes
des temps.«
Vous dîtes dans ce texte : »et cette suite, c’est l’incitation à vivre noblement.« et encore : »qui devrait succéder
à la fin du matérialisme comme l’a probablement très bien
vu René Guénon et qu’il
a expliqué dans Le règne de
la quantité et les signes
des temps."
« La fin du matérialisme », qu’entendez-vous par là ? Et qu’est-ce que René Guénon a vu ? J’ai lu un peu Guénon, certes il a une vision du monde, mais je ne vois pas ce qu’il a vu. Peut-être Christian pourriez-vous éclairer ma lanterne si vous avez des réponses là-dessus ; là je comprendrez mieux ; je suis dans l’expectative d’une pensée qui peine à démarrer, et je n’y suis pour rien ; certainement par votre pensée qui je ne sais si elle a réellement penser sa pensée.
Excusez mes mots, ils viennent tous seuls, je ne suis qu’un support humain.
Merci pour vos messages