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Tom Roud

Tom Roud est un post-doc à New York, membre du c@fé des sciences.
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http://tomroud.com

Tableau de bord

  • Premier article le 18/04/2007
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Derniers commentaires



  • Tom Roud 19 avril 2007 00:44

    Bonjour, merci pour votre commentaire, et toutes mes excuses si je ne suis pas clair. Je vous invite à aller réagir sur mon blog où l’exposé est plus fractionné et peut-être plus détaillé. Pour résumer l’article en une phrase, disons que les variations d’un sondage à l’autre sont beaucoup trop faibles pour être compatibles avec une marge d’erreur (pourtant annoncée) de 3%. Cela signifie que les sondages sont « biaisés » d’une façon ou d’une autre, en particulier pour « lisser » les évolutions.

    L’exemple caricatural est le cas Jospin/Le Pen en 2002 : Jospin et Le Pen ont fait à peu près le même score, or tous les sondages donnaient Jospin devant Le Pen. Comme ils ont fait le même score, un sondage sur deux aurait dû donner Le Pen devant Jospin. C’est comme tirer 20 fois à pile ou face et tomber 20 fois sur pile : il n’y a quasiment aucun doute que la pièce n’est pas balancée. Tout le billet est une tentative de mise en évidence de biais en comparant les resultats d’un sondage à l’autre.



  • Tom Roud 19 avril 2007 00:33

    Bonjour, Merci pour votre commentaire. si les indécis votent de façon « similaire » à la population « décidée » le resultat ne changera pas. Je suis toujours frappé par cette mise en avant des indécis : le résultat du vote ne changera que si les indécis votent significativement différemment du reste de la population. Or rien ne le prouve. Il faudrait enquêter après l’élection pour savoir comment les indécis d’aujourd’hui auront voté pour savoir si les indécis font vraiment basculer le scrutin.



  • Tom Roud 18 avril 2007 14:44

    « Ansi une erreur de 3% aura beaucoup moins de chance de se produire qu’une erreur de 1%. Les resultats IPSOS ne sont pas lisses mais donnt l’impression d’etre aplatis car en fait 95% des sondages ont moins de 3% d’erreurs, mais on pourrait aussi dire 50% des sondages ont moins de 0.5% d’erreur (ordre d’idee). Et c’est ce qu’on voit. »

    J’avais oublié de répondre à cette partie. C’est exactement ce que j’explique dans la deuxième partie du billet avec mon exemple de la gaussienne. Et les sondages IPSOS ont des résultats un peu trop concentrés autour de la valeur moyenne par rapport à leur méthode. Si on fait le calcul, on trouve que pour un score de 53.5% avec un échantillon de 1200 personnes, environ 40% des sondages devraient être entre 53% et 54% et seulement 14% donner le bon resultat. Ces pourcentages sont plus de deux fois plus élevés dans les résultats réels. C’est pourquoi je dis que la marge d’erreur « observée » sur les sondages IPSOS est 1 ou 2 points.



  • Tom Roud 18 avril 2007 13:49

    « Vous supposez que la distribution de l’erreur est uniforme alors qu’elle est gaussienne dans votre premier graphique. »

    Absolument pas. La distribution dans le premier graphique a exactement la même forme que celle sur le deuxième graphique ; les deux ont été faites avec le même type de simulation.

    Par ailleurs, je « n’impose » pas la forme de la distribution de l’erreur : je tire au hasard les votes de mes électeurs avec une probabilité proportionnelle au pourcentage d’intentions de vote réel. La forme gaussienne est due au théorème de la limite centrale.


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