Autre constat édifiant : l’un, Hollande, est effectivement au contact des gens et en empathie avec eux ; l’autre, Sarkozy, n’a de contact, dans un espace délimité par des délirantes forces de l’ordre, qu’avec une claque partisane sévèrement triée comme dans l’ex-URSS ou les républiques bananières.