« l’ancien ambassadeur des États-Unis en Syrie a été chargé, au nom de la CIA et avec l’aide des services israéliens du Mossad de recruter des « escadrons de la mort » auprès de terroristes d’Al-Qaida et de les envoyer se battre contre les forces fidèles au régime syrien ». On doit pas être très loin de la vérité...
Alors que l’Iran et la Russie, fidèles alliés de Damas, ont condamné l’attentat, les ministres américain et britannique de la Défense, Leon Panetta et Philip Hammond, ont mis en garde contre une situation qui devient « incontrôlable ». Un haut responsable américain a en outre exprimé sa crainte que le conflit ne « contamine les voisins ».
Washington a ensuite estimé que M. Assad était en train de « perdre le contrôle de la Syrie » tandis que Paris a jugé que sa lutte pour conserver le pouvoir était « vaine » et appelé les soutiens du régime « à se dissocier de la répression ».
Bref, ils sont du côté des kamikazes. Par humanitarisme, bien sûr.