Entre Luc Chatel qui voulait initier les enfants à l’anglais dès l’âge de 3 ans et Geneviève Fioraso qui veut imposer l’anglais dans les universités au nom de la compétitivité, on se demande bien pourquoi cette réticence à la langue de Shakespeare, alors que nous devons nous préparer rapidos à l’incontournable super grand marché transatlantique . ....