Chère Vipère,
« Des écrivains qui n’ont jamais bougé, plus loin que leur patelin rédigent des aventures et des voyages qui paraissent aussi vrais que s’ils les avaient vécus pour de vrai, dans le moindre détail. »
Et oui, l’inspiration ne vient pas seulement en restant assis derrière son bureau.
Voir du pays permet de relativiser les choses. Ecrire un livre, c’est prendre des notes au vol sur le terrain et ensuite les rassembler pour coller à un scénario que l’on veut y intégrer. Comme tu dis, c’est se documenter avant d’écrire la première ligne.
Réinventer le monde, ça c’est pour les équilibristes.