Bonjour et merci de vos commentaires. Je réagis à celui de M. Dussauge, afin d’ajouter une précision. Ayant été contacté par mail et téléphone (plus d’une heure) par le journaliste de L’Expansion chargé de ce dossier, j’ai commencé nos échanges par cette déclaration : « Tout d’abord je tiens à préciser que l’IE et l’espionnage industriel sont deux choses différentes, l’IE envisageant l’espionnage comme une pratique illégale et comme une menace pour la sécurité de l’entreprise. Un praticien de l’IE se défend légalement de l’espionnage et ne le pratique pas. C’est ce qui fait la différence entre un cabinet d’IE, une officine de barbouzes économiques et un service de renseignement ». Le journaliste (Quentin Domart) a alors répondu ceci, à mon grand désespoir (mais peut-être s’est-il mal exprimé) : « Vous avez raison, l’espionnage n’est qu’une facette de l’intelligence économique, et nous avons choisi de centrer notre dossier sur ce thème ». Je précise que mes propos n’ont finalement pas été repris dans ce dossier de 30 pages, ce qui n’enlève rien à sa qualité mais lui laisse, je vous le concède, quelques défauts, dont celui d’une vision orientée et sulfureuse (mon propos n’étant pas sulfurique)