Bonjour,
Eh bien, c’est une bonne nouvelle ! Il ne reste plus que de travailler sur les 36.000 communes restantes, et surtout sur les 20.000 de moins de 1.000 habitants.
La Grande Bretagne et l’Allemagne l’ont fait il y a plusieurs décennies. Et ce n’est pas parce que les habitants croient que leur mairie est indispensable qu’il faut laisser cet anachronisme en l’état. De plus, avec l’informatique il suffirait d’avoir ici et là des terminaux et des salles d’affichage animés par un préposé pour répondre aux besoins très limités des populations. L’informatique permet le « sur mesure », mais ce n’est pas du goût des gens en place. En France, on n’aime pas le changement autrement que dans les discours électoraux.
Mais, ici, la politique est nettement l’ennemie du progrès et de la réduction des coûts. La politique ? C’est simple, c’est l’argent des autres.