Très bonne fable
pour décrire ce qui se passe dans les sociétés privilégiées
hiérarchiques où le sort de la plupart des membres est entre les
mains d’une petit minorité, voire d’un seul individu.
Cette double-pensée
comme aurait dit Orwell était présente dans toutes les cours
royales comme celle d’un Louis XIV, dans les états-majors
militaires, les gouvernements, les administrations centrales etc. Ce
qui bien sûr n’empêchait, n’empêche, les coups-fourrés, les
hostilités entre clans ou personnes, pour le plus grand mal
évidemment de ce que le groupe est censé servir.
En revanche, quand
chacun n’a rien à craindre des autres participants, comme par
exemple dans les partis politiques « démocratiques », on se
déchire souvent à visage découvert.