’... L’exclusion et le malheur infligés à autrui dans nos sociétés, sans mobilisation politique contre l’injustice, viendraient d’une dissociation réalisée entre malheur et injustice, sous l’effet de la banalisation du mal dans l’exercice des actes civils ordinaires. par ceux qui ne sont pas (ou pas encore) victimes de l’exclusion, et qui contribuent à exclure et aggraver le malheur de fractions de plus en plus importantes de la population’
’... Même si des leaders existent, dont le comportement mérite une analyse spécifique, leur identification ne confère pas pour autant aux autres, et en particulier aux lecteurs ou à l’auteur, le bénéfice de l’innocence ....
L’effort d’analyse paraît pourtant nécessaire. Je crois qu’il permet de supputer pourquoi il n’y a pas de solution à court terme. ’