@leypanou
c’est
l’enseignant et les autres enfants qui doivent supporter.
L’enseignement étant
obligatoire de 6 à 16 ans, c’est inévitable.
J’ai connu une
institutrice disant par dérision : « Moi, j’ai trente élèves dans
ma classe, vingt plus un ! »
Avec les parents
élus des conseils d’école, co-éducateurs officiels auprès des
enseignants quelle que soit leur compétence, et alors qu’ils n’ont
pas les élèves sur les bras, la tendance serait même de placer
« avec les autres » les enfants autistes jusqu’à la fin du
CM2 et même ceux qui suivent un traitement psychiatrique (à temps
partiel !).
Ça coûte
apparemment moins cher à la collectivité et permet de faire
apparemment des « économies » chères à l’UE quand il
s’agit de dépenses publiques. Tant pis pour les autres élèves,
« n’ont qu’à aller dans le privé », et tant pis pour les
absences non remplacées d’enseignant(e)s épuisées.