Bonsoir, wesson
En effet, personne ne peut sérieusement nier que Macron soit « le candidat de la finance ».
Avec un peu de chance, cela n’en fera peut-être pas un président pire que ses deux derniers prédécesseurs, surtout s’il tient sa parole d’introduire de la sécurité pour les travailleurs en regard d’un surcroît de flexibilité comme cela se pratique en Scandinavie.
Après tout, le pire n’est jamais sûr.