Bonne analyse. Mais la fragmentation des mouvements sociaux et la multiplication des doléances ne serait-elle pas une conséquence de la montée de l’individualisme moutonnier et consumériste, chacun consommant des « causes » qui lui tiennent à cœur au sein de « tribus » individualistes, au détriment de la cohérence globale de vraies propositions politiques d’ensemble ?