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Philou017 Philou017 18 mars 2008 22:19

Vous confondez la cause et l’effet concernant Ebola. Ce que veut dire l’auteur (que j’ai repris), c’est que les vaccinations à outrance comme celles qui ont lieu dans certains pays d’Afrique peuvent provoquer une dégradation du systeme immunitaire pouvant provoquer l’apparition de virus comme Ebola.

Les vaccins sont préparés avec des substances pouvant provoquer des problemes de santé, comme par exemple l’aluminium :

25 vaccins couramment utilisés en France, vaccins obligatoires comme ceux contre la diphtérie, tétanos, polio, ou facultatifs comme ceux contre les hépatites A et B, font appel à l’aluminium sous forme de phosphate, sulfate ou encore d’hydroxyde à des doses de 50 à 80 fois supérieures aux doses admises par les instances européennes (15µg/l)

Une nouvelle maladie, la myofasciite à macrophages (MFM) liée à l’aluminium vaccinal, a été isolée en 1998. Malgré une sous-notification certainement très importante, plus de 150 cas ont été identifiés officiellement en France - dont 30% chez du personnel paramédical - chez des adultes d’âge moyen. Se manifestant essentiellement pas des douleurs articulaires et neuro-musculaires ainsi que de la fatigue chronique – comme les syndromes du Golfe  (plus de 1000 cas) et des Balkans - et de la SFC (100 à 200 cas pour 100 000) ou les fibromyalgies (plus de 500 000 personnes en France), voire les diverses myosites, la MFM est caractérisée histologiquement par la découverte d’aluminium au point d’injection en moyenne trois ans après l’administration du vaccin (et parfois plus de huit ans). Dans un tiers des cas, la maladie s’accompagne d’une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques (1/3 des patients). 

Le Comité Consultatif pour la Sécurité des vaccins de l’OMS « a conclu à un lien de causalité très probable entre l’administration d’un vaccin contenant de l’hydroxyde d’aluminium et la présence de la lésion histologique caractérisant la MFM » Ce lien irréfutable a été reconnu par les agences de sécurité sanitaire française et américaine ainsi que par la branche vaccin de l’OMS. 
Dans une interview accordée au magazine Alternative Santé-L’impatient en Avril 2001, le Pr. Gherardi a dit à ce sujet : 

« Cela nous a pris un an et demi. Résultat : tous les malades de notre série ont un antécédent vaccinal certain. Sur 50 malades à l’époque (150 aujourd’hui), 85 % ont reçu au moins le vaccin hépatite B avec d’autres vaccins le plus souvent, les autres ayant été vaccinés principalement avec le vaccin contre le tétanos. Cette étude rétrospective nous a révélé une nouvelle surprise : le délai moyen entre la vaccination et la biopsie était de trois ans, et dans certains cas atteignait huit ans. »

On observe avec une fréquence croissante des cancers chez les animaux domestiques, de préférence au point d’injection des vaccins qui font également appel à l’hydroxyde d’aluminium. Pas moins d’une quarantaine de publications scientifiques abordent ce sujet (1)
Les tumeurs sont généralement décrites dans les revues médicales comme sarcomes félins post-vaccinaux, sarcomes dus aux vaccins, ou sarcomes à l’emplacement de la vaccination. Ultérieurement, l’augmentation de la fréquence des néoplasies a été démontrée aux points d’injection vaccinale ainsi qu’une relation épidémiologique entre les dates de vaccination, les points d’injection et l’occurrence des tumeurs. La présence de granulations comportant de l’aluminium, faisant craindre l’apparition de complications comparables chez l’homme

Il est maintenant formellement établi scientifiquement que l’aluminium présent dans les vaccins peut déclencher - en moyenne 3 ans après l’injection, avec un délai maximum de 8 ans – une myofasciite à macrophages qui est associée dans 30 % des cas à une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques. 

Le dommage causé par l’aluminium présent dans la majorité des vaccins « établit une absence de sécurité de ces vaccins à laquelle les utilisateurs pouvaient légitimement s’attendre et démontre la défectuosité de ces produits. »

biogassendi.ifrance.com/alualz.htm#IV.

Voir aussi : home.scarlet.be/nomoreillusions/vaccin_erreur_du_siecle.html

Tant qu’on y est , un excellent résumé :

Dangerosité des vaccinations :

Dans son rapport publié en 1986, la sociologue Claudine Marenco, directeur de recherches au CNRS, analyse avec pertinence comment la vaccination a progressivement pris en France le caractère d’une institution in questionnable (étude réalisée sur demande du Centre international de l’enfance). Pour cette catégorie de la population, le caractère nocif des vaccinations apparaît clairement dans l’article du Docteur Marie-Bénédicte Hibon paru dans la revue « Vous et Votre Santé », hors série n° 4, 1995 : « Le système immunitaire de l’enfant mûrit lentement, depuis l’apparition chez l’embryon des premières cellules souches de la moelle jusqu’à l’âge de 10-12 ans, avant d’acquérir sa structure adulte. (…) Ce système ne devient fonctionnel que très tard vers cet âge et pourtant nos enfants absorbent, de 0 à 2 ans, 10 informations vaccinales (et davantage avec les rappels). Qui fera le lien avec les problèmes de croissance, de dyslexie, d’hyper nervosité, de trouble caractériel, de diabète, les maladies qui surviennent sept à dix ans plus tard ? Pourquoi ne pas laisser ces maladies s’exprimer naturellement par voie épidémique ? »

En pédiatrie, l’observation des faits conduit généralement à distinguer trois périodes :

- première période, le petit enfant n’est pas vacciné, il se porte bien ;

- seconde période, les vaccinations commencent : rhinopharyngites, bronchites et otites se répètent de mois en mois, avec une fréquence d’autant plus élevée que la couverture vaccinale a été importante ;

- troisième période, à partir de trois ans environ, les manifestations allergiques et autres réactions apparaissent : conjonctivite, rhume des foins, diabète insulino-dépendant en forte augmentation constatée par des médecins d’Oxford et des chercheurs néo-zélandais (cf. Lancet, juin 1997), autisme corrélé avec les vaccinations diphtérie-tétanos-coqueluche et rougeole-oreillons-rubéole, asthme… Pour cette dernière maladie, le Docteur Michel Odent constate dans Jama 1994, vol 272, qu’à l’échelle mondiale, l’asthme de l’enfance est devenu le problème numéro 1 en pédiatrie.

Les vaccinations sont à l’origine d’innombrables effets pervers :

- Les vaccinations à répétition affaiblissent le système immunitaire et favorisent le développement de maladies de dégénérescence, situation qui ne fait que s’aggraver avec l’extension constante des vaccinations (cf. Immunologie fondamentale et appliquée de I. Roit et al. 2° éd. 1989),

- les vaccins sont élaborés à partir de substrats cellulaires, source de contamination par des virus, des protéines transformantes et de l’ADN, susceptibles de faire apparaître un état cancéreux (rapport technique de l’OMS n° 747 de 1987),

- les virus vaccinaux conservent leur capital génétique et peuvent se recombiner avec des virus muets pour donner naissance à de nouveaux virus et à retour à la virulence,

- les vaccinations induisent des modifications dans l’écosystème et perturbent les équilibres bactériens et viraux,

- les immunités artificielles entravent les « crises de nettoyage organique » qui interviennent par les maladies aiguës en déplaçant l’axe des déterminations morbides et contribuent à l’essor des maladies chroniques,

- les vaccinations empêchent l’expression des maladies infantiles nécessaires à la structuration des défenses immunitaires et psychiques de l’enfant et entraînent leur report sous des formes graves à l’âge adulte,

- leur fabrication inclut des substances toxiques telles que les saponines, les sels de mercure, la bétapropoliactone cancérigène, l’hydroxyde d’aluminium à l’origine d’une nouvelle maladie, la myofascite à macrophages, ou fait intervenir du sérum fœtal de veau ou de la bile de bœuf pouvant être contaminés par l’agent de la maladie de la vache folle,

- le vaccin antihépatite B est fabriqué avec des produits issus de lignées cellulaires continues présentant à long terme un risque de malignité résultant d’un ADN contaminant hétérogène « en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes » ‘cf. rapport technique 747 de l’OMS).

En outre en ce qui concerne l’espérance de vie l’INSERM a mené en 1992 une étude comparative des taux de décès, par âge et par sexe, au Royaume-Uni, en Suède et en Italie par rapport à la France. Cette étude publiée par le Haut comité de la Santé publique dans la « Santé en France », aux éditions le Monde, en février 1997, éclaire d’un jour accusateur la politique de santé publique en France dont la vaccination est une composante fondamentale.

On y apprend que jusqu’en 1992, la mortalité pour les femmes françaises nées après 1938 est en moyenne supérieure de :

- - 6,5 % par rapport à la Grande Bretagne

- - 18 % par rapport à la Suède

- - 6 % par rapport à l’Italie

Pour les hommes nés après 1937, la mortalité est en moyenne supérieure de :

- - 24 % par rapport à la Grande-Bretagne

- - 35,5 % par rapport à la Suède

- - 16,3 % par rapport à l’Italie

Ainsi, nos taux de décès pour les personnes considérées font craindre en toute logique une espérance de vie très inférieure, malgré les affirmations contraire des autorités sanitaires. Le Docteur Marc Vercoutère indique que « La Direction de la santé ne peut nier le rôle néfaste des vaccinations sur cette dégradation brutale et constante de l’espérance de vie en France depuis soixante ans, puisque nous avons été les premiers à imposer les vaccinations dès 1936 (en dehors de la variole, dont l’obligation avait été imposée en 1907, alors qu’en Grande-Bretagne elle était levée dès 1904). Le B.C.G., toujours obligatoire en France, les rappels supplémentaires des vaccins contre la rougeole et la coqueluche à 11 ans, l’intempestive campagne de vaccination contre l’hépatite B (…) ne peuvent qu’aggraver cette dégradation de l’espérance de vie.

www.innovationsante.com/fichier.php

 

 


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