"Dieu "n’a eu aucune liberté pour choisir les conditions initiales" et très peu de libertés pour choisir les lois qui gouvernent l’univers."
Aucune liberté pour "dieu" ?"
Déisme, théisme ou panthéisme... peu importe...Je dirais que SH est plutôt leibnitzien : Dieu se plie à la nécessité logique de l’univers (conçu comme " écrit en langage mathématique", comme disait déjà Galilée...)
Ce qui n’est pas admissible, épistémologiquement parlant, c’est de faire intervenir un tel concept dans un ouvrage de vulgarisation scientifique, en mélangeant les genres...