• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


En réponse à :


sisyphe sisyphe 23 mai 2008 17:01

par Florentin Piffard (IP:xxx.x2.159.204) le 21 mai 2008 à 12H14

 
Quant au très catholique Baudelaire,
 
Celle là, c’est la meilleure !
On rappelera, juste en passant, que Les Fleurs du mal paraissent en 1857 à 500 exemplaires. Le recueil sera poursuivi en 1857 pour « offense à la morale religieuse » et « outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs ».
 
Et encore... Dans les Fleurs du mal, qui rassemble plus de cent vingts poèmes, Baudelaire évoque son expérience de la dualité entre divinité et enfer, le Spleen et l’Idéal, ses amours maudits (Jeanne Duval la mulâtresse) ou platoniques (Madame Sabatier, sa muse et protectrice), l’expérience douloureuse ou spirituelle de la solitude, les paradis artificiels (vin, opium, haschich), la débauche et les voluptés interdites (homosexualité, plaisirs sadiques). Baudelaire parle encore de ses rapports avec la religion, qu’il exècre, de la tentation qu’il éprouve envers la mort.
 
Sacré Piffard, va ! Et ça vient porter des jugements sur les autres qui parlent de poésie !
 

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Palmarès