Ce n’est pas tout à fait pareil.
Dans Indiana Jones, ce n’est que l’artifice comique du contrepied : on nous présente un adversaire comme redoutable. Notre conscience collective nous laisse supposer un long et périlleux affontement entre le héros et son ennemi. Contrepied : malgré toute la valeur au combat, l’ennemi est expédié en une seconde.
Drôle. Point barre.
300 laissait sacrément plus transpirer une certaine sympathie pour la NRA et une vision de l’Amérique. 300, outre le fait que je l’ai trouvé très mauvais, m’a mis mal à l’aise. Indiana Jones, jamais.
D’où certaines interrogations partagées avec de nombreux autres spectateurs quant aux intentions de Zack Snyder.