A lire la déclaration de William Auld, je me dis qu’il a été sage de ne pas lui donner le Nobel. Les hésitations, les accents, les idiomes existent dans toutes les langues. L’esperanto s’il simplifie les aspects grammaticaux, n’échappe pas à ça.
Je constate que trop d’esperantistes veulent jouer un rôle d’évangéliste. La proposition de l’avant dernier paragraphe de l’article me parait tellement plus belle que l’esperanto seul, froid et présenté comme solution miracle. Au mieux, l’esperanto reste un bel outil de communication.