Chaque numéro a son chez lui, surveillé certes, mais au moins il crève pas de froid pendant l’hiver.
Moi je croise des SDF et des mendiants tous les jours. Mais c’est vrai que dans les années 70, ils avaient disparu.
Au Village, les déviants ne sont pas marginalisés, ils disparaissent.
La différence entre "Le Prisonnier" et la vie réelle, c’est que dans la vie réelle, on peut être prisonnier dehors !
C’est ce que finit par dire la série, aussi.