Merci pour cette article, Yannick, et pour cette évocation d’un film que j’aime énormément. Un film qui ne prend pas la tête (il est traité sur un ton de farce) mais qui n’en aborde pas moins de vraies questions sur l’existence, le besoin de notoriété ou l’aspiration à la sérennité.
A voir, ne serait-ce que pour la charge des « 50 fils de putes » et la bande-son, dominée par un étonnant et envoûtant traitement de la « chévauchée des Walkyries ». Foi de mélomane pourtant peu friand de transpositions iconoclastes !